Sunday, March 06, 2011

« Etincelante, mais toujours menacée de défaite… »

Essayage costume pour le spectacle de Bruxelles, Jeanne Balibar (Philippe Klauskinski au piano)


































Jeanne Balibar joue le jeu des citations. Elle m’en lit quelques-unes qu’elle a recopiées d’Eric Rohmer.

« Employer toutes nos capacités de maîtrise – qui sont immenses – à prêter le flanc. »

« Mon déchirement toujours entre l’ultra modernité et une forme archéologique du classicisme. »

« Sa plus grande qualité : une vulnérabilité incroyable. »

Elle dit aussi pour expliquer comment elle est allée voir le film La Bocca del Lupo, le très beau film italien dont elle veut s’inspirer pour Bruxelles : « Les choses m’envoient des signes. » Elle veut chanter, à Bruxelles, une chanson de Gaetano Veloso qui dit, quand elle la traduit : « Naviguer, c’est précis, mais, vivre, c’est pas précis. » Elle me montre aussi, sur YouTube, des vidéos sublimes de Domenico Modugno, une chanson qu’elle me traduit, c’est un type qui veut se suicider et que ses amis veulent dissuader de le faire car la vie est merveilleuse. A un moment où il ne chante plus, Domenico Modugno joue le type qui regarde dans le vide et c’est en effet sublime ou merveilleux. On le voit aussi dans un film de Pasolini jouer (en chantant) un marionnettiste qui va jeter ses marionnettes vivantes à la décharge… D’abord le chat a eu peur des plumes vertes, je lui avais demandé de le prendre pour la photo, il l’a griffée... Le lendemain, je la vois au « Petit Journal » aussi rayonnante que je l’ai vue chez elle à la sortie d’un défilé. Elle commente le défilé Balenciaga : « Sublime, élégant, féminin. » N’est-ce pas ce qu’elle veut dire et n’est-ce pas ce qu’elle arrive à dire elle-même exactement dans ce monde grossièrement bruyant, tonitruant... ?

Labels:

Les Chambres

« Avec les pièces de Shakespeare, on commence toujours avec une certaine idée dans la tête. Puis, quand on répète, on découvre qu’il était très proche du plateau, que ce qu’on ne comprend pas à la lecture, on le comprend sur scène. Il y a une profondeur des questionnements et un approfondissement progressif des thématiques qui sont proprement bouleversants. Avec beaucoup d’auteurs, on reste dans une première chambre, mais avec Shakespeare, on découvre une deuxième, puis une troisième pièce, et on n’en a jamais fini. Ma fascination pour ses œuvres ne fait que commencer. »

Labels:

« C’est aussi peut-être une des idées cachées de Nicolas Sarkozy, en fait, c’est d’avoir une sorte de face-à-face finalement entre l’Extrême-droite et la Droite. »

Labels:

Trois citations

« En c’moment, j’aurais envie d’écrire un livre qui s’appellerait Perdre. Les gagnants sont tellement ignobles, tu trouves pas ? »



« Il n’y a pas de sottes gens, il n’y a que des faux métiers. »



« La Suisse française, c’est un pays d’un million et demie d’habitants à peine, hein ? C’est comme si vous parliez du cinéma du Languedoc-Roussillon. »

Labels:

« Ecrire mes mémoires
Avec de l'encre noire
Sur un papier lilas
Que je n'enverrai pas

(…)

Dans l'eau d’un paysage
Se mirent des visages

(…)

Ma mémoire me diffuse
Des images confuses »

Labels:

Le national populisme triomphe à travers toute l'Europe

Robert Badinter. (Cliquer sur le titre.)

Terrible paysage. Noiceur de la Suisse, noirceur de la France, noirceur de l'Europe. Belle noirceur au cœur. Un cancer. Qui va nous entraîner dans la brutalité, dans l'archaïsme, la haine. Vous comprenez, on leur fait croire qu'ils sont français (ou suisses, etc.) A quoi sert l'Europe si tout recommence ? Mortelle Europe... Où fuir ? Où combattre ? Où aimer ? Où détester ? ...

La Journée de la Femme

Journée ensoleillée dont j’ai la nostalgie. Je regarde la météo d’hier (sur Canal +) et je suis ému de tous ces soleils jaune citron, jaune poussin, jaune canari, jaune d’œuf (jaune télé, quoi…) Ce matin, mon ophtalmo m’a parlé de Just Jaeckin et de David Hamilton. C’était sexy. Je lui ai parlé du livre d’Aldous Huxley que m’avait prêté Yves Godin (mais que je n’ai pas lu) ou il décrit une méthode pour voir quand on n'y voit pas sans lunettes, jugeant les lunettes néfastes pour la santé de l’œil. « C’est atterrant. », m’a-t-elle dit. C’était avant de me parler de son ami Just Jaeckin. « Just Jaeckin, c’est qui déjà, qu’est-ce qu’il a fait ? – Emmanuelle ! – Ah, oui, c’est vrai, je vois très bien, je n’osais pas être sûr… » Je crois qu’elle me faisait du gringue (plus inconsciemment que moins, je pense). Hier, j’ai dit à mon psy : « Je crois que la société, c’est la guerre civile. – Tu peux dire ça, mais une guerre civile soft, quand même… – Oh, pas tant que ça. » Et j’avais enchaîné sur cette réplique de Grand et petit, la pièce de Botho Strauss sur l’Allemagne des années soixante-dix. Claude Degliame disait, dans la mise en scène de Claude Régy : « Nous n’avons plus la guerre. A la place de la guerre, nous avons ça ! Nous avons la poisse ! » Au cours, je retrouvais Claire Chazal et puis tout le monde. Quelqu’un dans le vestiaire dont je ne connais pas le nom m'a dit : « Tu nous ramènes le beau temps… », puis me parlait de ses parents qui venaient d’acheter une maison dans la Drôme avec piscine. Pour couper court (car lui aussi me faisait du gringue, je le sentais), j'ai dit : « Eh, bien, alors, devenons amis. Je sens que j’aime déjà tes parents ! » Au cours de danse, je me regarde souvent les dents dans les grands miroirs, on me laisse faire ; là, j’étais fasciné par ma pupille dilatée, on aurait dit des yeux de chats, deux soleil noirs. Je traversais Paris toute la journée en Vélib’. J’avais rendez-vous au Rond-Point avec Nicolas Roux qui, pour justifier de me payer soixante-cinq euros, me donna les salaires de Nicolas Bouchaud, Stanislas Nordey et Sophie Marceau, 6500 euros, dans ce dernier cas. C’est vrai, c’est pas beaucoup (l’argument porta). Il faudrait donc considérer le théâtre du Rond-Point un peu comme le Royal Court à Londres, un endroit où les stars viennent travailler pour rien. Je m'étale un peu sur Sophie Marceau – oubliant tout le reste, par exemple la fin d'après-midi chez Sylvie* et Marcus au téléphone qui m'a pris pour son père – parce que, plus tard, c’est-à-dire tout à l’heure, je l’ai retrouvée. Robert Cantarella m’avait invité à voir la pièce de Philippe Minyana que met en scène son ex-toujours-compagne Florence Giorgetti où joue Nicolas Maury et, dans le hall du théâtre, qui c’est que voilà ? Sophie Marceau et Christophe Lambert ! Il y avait très peu de gens dans la salle. C’était aux Abbesses. Je pensais que, moi aussi, j’allais jouer au Rond-Point devant dix personnes, mais il y avait – comme au Rond-Point – Sophie Marceau ! Tout le monde était adorable à la sortie de cette pièce et, même, déjà aux saluts où les acteurs avaient de grands sourires, je voyais que tous ces gens sur scène étaient, en fait, très sympathiques, peu prétentieux, modestes et passionnés. Florence Giorgetti était littéralement adorable dans le hall et venait avec un visage si ouvert, un tel sourire, un soleil qu’il était absolument impossible de ne pas le lui rendre ou même d’émettre la moindre réserve, ç’aurait été une telle faute humaine, une misère, c'était visiblement un sourire de star. Je pense même que si Philippe Minyana avait été dans le hall après, lui-aussi, nous serions devenus amis. Mais il n’y était pas et ce n’est donc pas encore cette fois-ci que nous le sommes devenus. Je ne sais pas à qui je pourrais conseiller d’aller voir sa pièce, Les Rêves de Margaret, qui n’est absolument pas agressive, cela dit, juste modeste et pas assez mal montée pour que cette modestie en devienne (à mon sens) intéressante. J’ai entendu Robert Cantarella dire à un acteur qu’il fallait jouer encore plus « nul » (« rien »), dans le sens encore plus « déceptif ». Oui, je suis d’accord, peut-être alors. Quand on ne crève pas le plafond, on peut encore espérer crever par le fond. (Qu’est-ce que je dis là ?) Mais le théâtre est forcément tellement bien poli, tellement sclérosé. Pour arriver au théâtre de la Ville, il y a tellement d’étapes mortifères qu’on ne peut quand même vraiment pas en vouloir aux artistes – comment voulez-vous ? Les artistes au moins sourient. Oui, mais, mais car il y a un mais, le mais de cette journée de presque mai : la soirée était sublime à cause d’un acteur sublime absolument, il s’agit de Nicolas Maury qui crève par tous les bouts et le sol et le plafond car il est absolument à son affaire. Je l’avais vu, il y a quelques temps, une première fois dans L’Eveil du Printemps, de Frank Wedekind, un texte absolument sublime, lui et le texte étaient sublimes. Ici, le texte, bon, ne l’est pas et lui le reste. Voilà. L’annuaire, je vous dis. C’est un texte, celui de Minyana, où il n’y a que trois-quatre répliques genre « Passe-moi l’sel. » Eh, bien, lui, Nicolas Maury, on ne sait jamais comment il va les dire, c’est absolument surprenant à chaque fois. On rit tellement ça fait plaisir, la surprise… C’est la vie, mais quel talent ! Il est butoh, dédié à son art à ce point. (Ça, je l’avais déjà dit). Et dans les mouvements, les compositions, c’est pareil, tout est surprenant, dangereux même, simplement parce que tout est extrêmement bien fait sans arrière-pensée, sans inconscience (ce n’est certes pas dangereux pour ses partenaires, il doit les aider beaucoup). Il est dans des métamorphoses permanentes, je ne sais pas si, ce soir, il a joué plusieurs personnages ou un seul, on le reconnaît toujours et il n’est jamais le même, c’est invraisemblable comme ce type – cœur sur la main, qui plus est, bien entendu – a du génie. J’ai dit devant Robert Cantarella (qui se le garde en sociétaire depuis des années, si j’ai bien compris) que je ne comprenais pas qu’il ne soit pas déjà devenu une star, que c’est ce que j’avais tout de suite perçu avec Jonathan Capdevielle (il y a huit ans lors de mon premier one man show dont il était l’invité) et, maintenant, c’est arrivé pour Jonathan et c’est pas fini, mais c’est arrivé, justice de ça, mais, Nicolas Maury, ça ne peut être qu’une question de secondes. Je suis reparti à pied avec Catherine, puis en Vélib’ dans l’air liquide de la réconciliation nationale. A l’arrivée, la très belle Rama Yade disait au « Grand Journal » : « Entre le camp de la peur et celui de l’espérance, ce sera le sujet à trancher », pour commenter le fait que le quart de l’électorat prédisait voter Le Pen. Un électeur sur quatre ! Elle disait aussi : « Le Front National est devenu (comme je l’avais remarqué moi aussi en Suisse) l’arbitre de notre démocratie. » Et Jean-Michel Aphatie lui a dit que c’était elle, son commentaire, qui était, de toute la classe politique, le plus virulent contre Nicolas Sarkozy, l’échec de Nicolas Sarkozy. Bien sûr, elle s’en est défendue puisqu’elle fait partie du parti présidentiel. « Ce n’est pas une question de personne », disait-elle, et c’était comme si elle ne pouvait pas s’empêcher de parler vrai. Ce qu’elle disait prenait une résonance à cause de ces sondages, du fait qu’elle était noire, de la journée de la femme aussi, de sa beauté, du fait qu’elle avait critiqué en son temps la venue de Kadhafi en France et du fait que, la veille, Bernard-Henry Lévy avait dit que ce devrait être elle, la ministre des Affaires étrangères, pas Alain Juppé qui s'était mal illustré dans ce poste, une première fois, au moment notamment de la Bosnie.






* Sylvie Coudray, La nouvelle Athènes, l'atelier de coiffure.

Labels:

John Galliano 23%, Karl Lagerfeld 21%, Pierre Bergé 21%



L'Amour universel

Le 25, c'est un peu chaud, je reviens le jour même en fin d'aprés-midi... avec ma fille et mes parents. Peut-être en soirée, mais bon...

Moi aussi, j'arrête pas de pensé à ton travail, encore pétri de tes belles visions. Putain que ça fait du bien ! Le beau, le bon, l'étincelle et le fruit.
J'ai vraiment hâte de reprendre.
J'ai eu énormément de retours émerveillés, par ce qu'on a présenté vendredi ; c'était super émouvant de voir ça sur les visages des gens ; ils te regardent, ils sont arrivés à endroit où on ne cherche plus les mots pour dire que c'était bien, que ça a plu, que... que c'était là, que ça c'est passé, que c'est toujours là, en fait, et...

Profite bien de Lausane, de son magnifique petit marché... Et puis au diable toutes ces bises tarabiscotées, il faut baiser sur le champ, avec le tout monde ! Bah voilà !

A bientôt

Lorenzo

Labels:

Alors
Pour le samedi 26, je te dis, pour le moment garde l'horaire 10-16h chez Rachel. Je te dis un peu plus tard.
Pour vendredi 25, je te dirai aussi.
Pour tes comptes, je vois cette semaine (je débarque de Lausanne, chéri).
Pierre remplacé par Thomas, c'était quand je prévoyais de vous virer tous (y compris Bram), je l'ai déjà fait, je savais que j'avais une troupe de bestiaux disponibles la dernière semaine, je me voyais dans un enfer de planning, ça m'était déjà arrivé une fois à Paris, j'avais viré tout le monde et repris des qui étaient libres (les plus professionnels). Mais nous sommes arrivés in extremis à donner une avant-première. Donc, maintenant, il s'agit pour moi de protéger ce qui a été fait. Sanctuaire. J'aurais bien fait une troisième partie avec la troupe de bestiaux disponibles (Jeanne Balibar, Felix Ott, Philippe Tlokinski, Thomas Gonzalez, Thomas Scimeca), mais les bureaux me supplient de pas (Pierre Droulers encourageant au contraire) à cause de problème d'horaire.
Je te parle de tout ça, je sais pas trop pourquoi. Peut-être parce que je veux ton avis.
Jeanne Balibar que j'ai vue tout à l'heure, elle vient, elle sera super, elle est très intuitive, elle est à fond dans le truc simplement grâce aux infos que j'ai envoyées, elle est en plein dans le mille. Je vais transmettre les vidéos qu'elle m'a montrées, etc. Un truc qui n'est pas sur YouTube qui va te faire pleurer. Un extrait qu'elle m'a montré tout à l'heure de La Bocca del Lupo (La Gueule du loup), un documentaire italien. Elle a rapporté un costume du Brésil comme tu peux voir sur les photos sur mon blog. Première partie et éventuellement une troisième (qui pourrait être très courte, elle qui chante une chanson ou deux, c'est tout, ce qui comblerait tout le monde : troisième acte, mais dix minutes).
Pour les deux autres que j'ai engagés, deux superbes acteurs, j'ai un doute, trop superbes, peut-être... Qu'est-ce qu'il vont faire ? Je me souviens avoir déjà dit à Marlène quand elle est arrivée: « Je ne sais pas ce que tu vas faire, la pièce est faite. » En fait, Marlène qui est très maligne a trouvé sa place (tout comme Jeanne la trouvera). Mais les deux très beaux acteurs, un blond, un brun, très musclés, très hétéros que j'imaginais autour de Jeanne, je n'en suis plus si sûr. Et Lorenzo qu'est-ce qu'il va devenir si y a deux autres hétéros qui lui bouffent l'espace ? Lorenzo qui est si touchant parce qu'il n'a l'air de rien. Jeanne a ça aussi : elle est tout, mais rien. Felix, très brillant ou alors il s'ennuie et Philippe que je connais pas encore, très cinéma aussi. Ce sont des jeunes, quoi, des jeunes premiers. A-t-on besoin de ça ? Merde, merde... Que d'affres... A moins d'en faire quelque chose, de ces deux là... C'est là que je pense aux armures. Si on les mettait dans des armures, ce serait sauvé. Alors t'as des plans pour trouver des armures ou non ? Ça doit bien se trouver, comment ils font pour le cinéma, y en a tout le temps... Ton père, il en a ? La vidéo sur Dailymotion, tu me la montres ?

Bref, je me détourne avec regret des filles de Lausanne pour me rapprocher des travelos de Bruxelles dans ton genre...



Je t'embrasse, petite bête sauvage et délicate

Yvno

Le Vers et verre de

Après avoir rencontré son père par hasard, Danny reste enfermé chez lui. Ambre fait tout ce qu'elle peut pour qu'il retourne au travail, sans succès. Phyllis, au courant de la situation, réussit à le convaincre de retourner travailler. Heather a un ...
un espace prêt la transe, au possible, aux hasards à la confiance à la douceur.
J'ai aimé attendre que
Beauté fasse son apparition furtive et issue d'une formule genosque qui mixe l'attente, l'ennui le vertige et le mouvement.
En route Vers la beauté pure.
Bien sûr,
Beauté est une coquette et qui sait apparaitre en sachant se faire désirer.

Puis il y a les fulgurantes aigües,
qui déchirent un moment dans l'espace pour se planter dans les coeur.
Puis
cette attente sous tension qui reprend.
Les mots qui disent à 360%,
Chloé insiste pour que Lily travaille toujours d'avantage et s'énerve lorsqu'elle découvre que Cane l'a emmenée au Club pour lui faire un massage. Ambre et Danny brûlent l'argent et Danny se rend chez Mme Chancelor pour lui demander de financer le ...
ou les textes,
qui traversent nos siècles et qui inlassablement se mettent à disposition pour faire écouter le monde et les turpitudes, au milieux d'un vacarme de dialogues de feuilletons télés marmonnés et psalmodiés sur le plateau,
soudain ILS,
ces textes percent la peau du quotidien,
font entendre leur voix de fulgurants aigus.

J'avais tout le temps pour penser à ce métier, à la notion d'efficacité dont on nous demande retour.
J'avais tout le temps de
m'engouffrer dans le Rien du tout, offert en pâture et pourtant si dur à côtoyer et à faire fonctionner.
Aaahh, notre intelligence qu'il faut faire parader comme gage de réussite...
Gloria est persuadée d'avoir vu le fantôme de John Abbott. Elle en parle avec Kevin et Jana. Jana la croit et lui propose de faire une séance de spiritisme pour conjurer l'esprit de son défunt mari. Jack et Nick préparent la fête de lancement du magazine ...
Tu est prêt à épouser Beauté, j'ai beaucoup aimé les noces.



Cher Yves-Noël,
je te trouve magnifique,
ton corps enveloppés dans ses différentes couches que tu défais au gré de la chaleur,
du temps
ou que – que
tu rhabilles en fonction de tes émotions.
Je pourrais te regarder pour toujours,
du moins tout le temps.
J'ai aimé que tu fasses connaissances avec tes anges, il y en avait sur ton plateau.
Cela a dû être une jolie surprise pour toi.
Vive la grâce,
la chanson Late In Days de Supergrass dans la nuit du matin,
ou
How It Feels de Dybdahl dans un train qui repart,
les larmes aux yeux.
Oui,
la soirée « Style et Effervescence » bat son plein. Nicolas se fait enfin un nom auprès des journalistes. Katherine ne va pas à la soirée, elle préfère travailler sur ses mémoires. Lily est mal à l'aise sous la pression de Chloé. Félicia Forrester accepte de ...
de.



Marielle.

Labels: