Le Sacré, le Romantisme (spectacles)

Le Sacré.

Le Romantisme inquiète l'administration. 

A propos, quand Albert revient-il ?

Bébé a demandé soudain si Mickey était bisexuel. Quelqu’un a dit que oui, il était sorti avec David. Mais David, ça ne comptait pas. Enfin, pas trop. Parce que David, c’est David. Alors G d P a dit : « A la manière dont il a aimé que je lui bouffe le cul, je dirais oui. » Et elle a ajouté : « Seulement voilà, il aime aussi les chattes et les seins. » Et, là, j’ai dit : « Et il a bien raison ! » Car tout le monde s’identifiait à Mickey. Et n’avions-nous pas raison ? G d P a encore dit : « Il m’a sucé les seins jusqu’au bleu » Je lui avais touché les seins et j’avais dit : « Je touche les seins que Mickey a touché ! » Elle avait dit : « Touchés ? Que Mickey a léchés, tu veux dire, sucés — « suçotés », quelqu’un avait rajouté, G d P cherchait ses mots —, blessés jusqu’au bleu. » Sur la photo que son amie avait montrée à Mickey, il avait pensé qu’elle avait de faux seins. Il avait été bien content de constater que non ! Qu’est-ce qu’on avait encore dit sur Mickey ? Bébé avait demandé où ça s’était passé. J’avais crié comme au jeu des mille francs : « Rue de Babylone ! » Je savais tout par cœur, avait dit G d P. Tu m’étonnes ! J’avais aussi appris par internet que Carla et Nicolas avaient voulu acheter l’ancien duplex d’Yves Saint Laurent, mais qu’ils y avaient renoncé quand Nicolas avait réalisé que Mickey (un ancien amant de Carla) habitait au-dessus. Ça, non, avait dit Nico. Encore une bonne soirée au théâtre de Vanves ! Genre. 

(Après la très bonne pièce-happening de Thomas Ferrand, Mon amour,  et la sortie-fête de « Volailles » (n° 2) où on reparle de Blektre.)