Thursday, April 22, 2021

F ait surface


« Femmes + 45 ans : Un anti-rides révolutionnaire fait surface »

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« Est-ce que toi aussi par hasard tu ne te foutrais pas de la gueule des femmes ? »


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F emmes riches


« Si la mode consiste à n'habiller que des femmes riches, c'est bien triste »

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O n m'a posé la question...


On m’a posé la question, à propos de la reprise des cours d’interprétation Jouer comme Gérard : « Faut-il venir avec un texte en particulier ? » Oui, c’est un cours d’entraînement, il faut donc trouver son propre matériau à partir de ce thème de la Genèse, c'est assez vaste, c'est la première fois que je donne un thème, mais on y trouve son bonheur, on l’a constaté en juin. Il faut penser grand, ce sur quoi on a envie de travailler en grand et pour longtemps, pour aboutir à un spectacle (sinon on perd son temps à des petits bouts de trucs). On m’a aussi posé la question  : « Peut-on participer si on se sait pas lire ? », j’ai répondu que je supposais que oui, que j’adore plus que les comédiens les danseurs (à qui on ne demande pas de savoir lire) et les circassiens plus encore que les danseurs — et, de toute façon, des comédiens, mes préférés sont les illettrés comme s’émerveillait Marguerite Duras de Gérard Depardieu (c’est pour ça que le cours s’appelle Jouer comme Gérard). Après, savoir lire, c’est très rare, les gens ne savent pas, en général, dans ce métier, et, vous savez, c’est physique, instinctif, c'est pour ça que nous faisons du théâtre 

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P hèdre est une tentative d’entraîner sa mémoire


Phèdre est une tentative d’entraîner sa mémoire. En une dizaine de jours, sur une proposition de Philippe Gladieux, éclairagiste, mais que j’écoute, j’ai dû mémoriser Phèdre.

Il s’ensuit un spectacle en mouvement, un enfermement et une théorie. Une actrice surgit du néant et sa mémoire se ré-entraîne. Au fur et à mesure des avant-premières puis des représentations, le souffleur s’est éloigné, le décor est réapparu, le venin s’est répandu, accepté par le corps.

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M arlène


« Pouvez-vous nous parler un peu de votre parcours ?


J’ai commencé de manière très classique dans des cours de théâtre pour enfants. Puis, j’ai continué au lycée. En parallèle, je faisais beaucoup d’équitation et je me destinais plutôt à faire carrière dans ce milieu-là. À 19 ans, je suis entrée dans une école de théâtre parrainée par Jean-Pierre Bacri et Agnès Jaoui : la Scène sur Saône, à Lyon. Le matin, on avait des cours et, après, on disposait d’une salle de spectacle. On a fait beaucoup de spectacles, peut-être « merdiques », mais on les faisait nous-mêmes !

À Paris, j’ai rencontré beaucoup de personnes très importantes pour moi : Edward Bond, un dramaturge anglais ; Hugo Lagomarsino, créateur de marionnettes et spectacles pour enfants ; Yves-Noël Genod, qui m’a beaucoup apporté dans un genre alternatif, entre théâtre, danse et art contemporain. Dans ce milieu-là, j’ai rencontré Sophie Perez et Xavier Boussiron avec qui j’ai commencé à travailler. Les projets se sont alors enchaînés. »

« Si la bêtise était si simple — si elle était si bête —, elle ne préférerait pas la surface aux abysses. »

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E n voyage (Eros et Thanatos)


Je lis cette expression dans une citation dans le journal (pas celui d’Arthur Dreyfus cette fois) de Malaise dans la civilisation de Freud : « humaine pulsion d'agression et d'auto-anéantissement » et j’y reconnais ton travail subtil. Je t’embrasse. Marseille a été une fête, une catastrophe sublime. A très vite, 

t'embrasse,


Yves-Noël


(Cette citation d’un psychanalyste, dans un autre article, résonne aussi : « Eros est incertain et son incertitude est essentielle. Il ne vit que de son échec, il meurt de son succès. »)

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L e Rien


« Hélas, moi je ne peins pas, je ne sculpte pas, je ne fais rien, car pour moi le théâtre n’est rien. »

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E trangeté


« Mais j’ai impression que notre façon de voir le monde aujourd’hui est complètement fabriquée… Y a une espèce de capacité à lire le monde uniquement parce qu’il ressemble à quelque chose qu’on a déjà vu, en fait. »


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« l'olivier pour la vie éternelle, le saule pleureur et sa chevelure tombante pour la douleur »

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C hez Erik (mur extérieur)



 

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T ruelle


Mon grand, je suis rentré à Paris (à l’instant), tu veux me casser la gueule ? j’ai hâte… Je n’ai pas compris si c’était pour une chose que j’avais mâle faite ou si c’était dans l’avenir (pour une chose que je pourrais mâle faire). Je viens de trouver aussi (je veux dire : dans l’immédiat) la phrase mentionnant la truelle (à laquelle tu faisais allusion et qui m’avait échappé). La situation qu’il avait dans le faubourg Saint-Germain à Paris, maintenant qu’il en connaissait toutes les femmes ce n’était plus rien qu’une sorte de masse inerte, sans valeur en soi, mais très utile comme truelle pour s’en bâtir une n’importe où dans le village ou la ville d’eaux où il arrivait et où il se trouvait une femme qui lui plaisait. (Cette phrase, je m’en aperçois, dit bien ce que j’avais à te dire...)

T’embrasse, 

Yves-Noël

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L a Fête marseillaise


« Et les mendiants étant humains

se transforment en gangsters »

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« Je ne puis parler qu’en ramassant ce qui traîne dans la langue. »


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