Wednesday, January 09, 2008

(Edgar Morin)

(Edgar Morin)










…et l’île sa pauvreté. Pastèques fraîches, baisers-cascades. Temps perdu, temps retrouvé, l’intimité de l’esprit et de la chair. La chair claire. La chaise. The rocking chair. Sur mon écran tout son roman. La lumière de mon clavier. « Débureaucratisation » des administrations. Chacun sait que le sens de la vie, c’est l’amour, l’affection, les copains... Déception du monarque... Une chère écriture est un portrait vivant.










Dans le tourbillon brouillon.
Au-delà des nuages, au-delà des forêts… La salle au milieu des neiges. J’ai peu lu. J’ai peu lu. Nos rêves, des aperçus… J’ai vu, j’ai vu. L’amour, on ne dit que la vérité.










Yves-Noël Genod, 9 janvier 2008.

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Polnareff



Photos de Isabô. Montaine Chevalier dans : Barracuda.

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Les perroquets



Photos de Isabô. Jonathan Capdeveille et Julien Gallée-Ferré dans : Barracuda.

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Les Saint Augustin







Photos de Isabô. Jonathan Capdevielle, Thomas Scimeca, Julien Gallée-Ferré dans : Barracuda.

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Julien flambant neuf



Photos d'Isabô. Julien Gallée-Ferré dans : Barracuda.

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Le bizutage (2)



Photos de Isabô. Julien Gallée-Ferré dans : Barracuda.

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Le bizutage


Photo de Isabô. Julien Gallée-Ferré dans : Barracuda.

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Le meurtre parfait

Faire disparaître.
Les fleurs sentent dans les films car ce sont de vraies fleurs. Des colombes, des terroristes, un ex-Nazi. Les seins de la fille du maître. Une lettre qui prouve. Comment résoudre une énigme si compliquée ? tout n’est qu’illusion. L’illusion massive. Un coffre d’acier dans de l’eau. Les retrouvailles avec – marguerites – passépassépassé. Le coffre d’argent dégouline aussi. Toi, ta sensualité, comme du sable dans la main. Dans la main. Face à l’eau de Victor Hugo, les vagues, les vagues…










À la place de son père, la fille. La plus belle fille. L’illusion phénoménale. Tout un peuple de différentes époques, Robert Musil… Le tissu ne garde pas les empreintes. Une sorte de peau de chamois.










Un adorable acteur. Il imite tous les genres. Il imit’rais même le vôtre. Mon métier est fondé sur les apparences. Je ne suis pas celui que je parais être.










Il y a toujours un mobile. Wilson, j’ai encore oublié mon imperméable. L’espace s’approfondit. L’espace à réfléchir. Profondeur de champs comme chez Orson Welles. Le meurtre parfait ? Ça n’est qu’une illusion.










Yves-Noël Genod, 9 janvier 2008.

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L’ombrage du bois de sapin.
Une église la chevelure.
Je me lève le matin et je me couche le soir.
The change that we desperately need.
Tout est mêlé.










Yves-Noël Genod, 9 janvier 2008.

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