Saturday, October 15, 2011

Message subliminal à Rosita Boisseau




J’ai le titre – écrirai-je l’article ?

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Il arrive



Bram Droulers.

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Le Chien orange qui s’appelle Whisky




« Il fait froid et beau ». C’était la phrase que j’avais au réveil et qui m’avait donné envie d’écrire. Et je ne l’avais pas fait. Je cherche, en ce moment, à finaliser le projet du TCI pour qu’une com' puisse avoir lieu (je vois Stéphane Bouquet demain). Jeanne m’appelle pendant que sa chatte accouche sur son lit. J’assiste à l’accouchement qu'elle me décrit, j’entends les miaulements (la couette chez le teinturier !) Je la laisse pour, au marché, retrouver Cecilia. Cecilia est assez fatiguée par Sylphides (j’y vais ce soir). Au début, elle me raconte des choses effrayantes d’un type ramené chez elle qui lui montre, à quatre heures du matin, un clip terrifiant. Je ne sais quoi. Elle pleure le petit chien du café parce qu’elle a peur qu’il meure ou qu’il soit déjà mort. Les patrons ont dit qu’il était « à la maison » parce qu’il était « malade », mais elle sent que c'est pire. Ils veulent le ramener « au bled ». Elle est très attachée à ce chiot qu’elle voyait tous les jours. Sa mère, me dit-elle, est une « Bretonne espagnole » (à la place d’épagneul breton). Et c’est parti, la rigolade ! Jusque là, je n’avais écouté que d’une oreille ou même d’un fragment d’oreille, d’une possession d’oreille, dans les vapes, je ne comprenais pas ce qu’il y avait à écouter, mais la chienne bretonne espagnole me réveille. Nous sommes au soleil, nous tirons la table toujours un peu plus hors de son rang pour le conserver un peu plus, le patron soleil, le chef, le boss, le groupederock boss. Et c’est parti pour la rigolade ! Elle me dit que Sabine (qui la loge, Sabine Macher) n’est pas là, elle est « dans l’asile Canaries ». Elle me montre un message qui dit : à bas les touristes allemands adipeux et qui finit par : « Nageons sous la douche ! » Je me souviens que Sabine m’avait violemment affirmé, dans le temps, qu’elle détestait les vacances (moi qui n’aime que ça), je me demande ce qu’elle peut bien faire à l’asile Canaries… Elle est avec sa mère, en fait, très âgée, allemande qui avait envie de passer du temps avec elle. Mais il faut que Sabine revienne pour protéger Cecilia (capable de ramener n’importe qui à la maison). Je propose à Cecilia de répondre à Sabine : « Reviens vite pour protéger Cecilia, signé Yves-Noël » Quand même pas. Après, on parle d’une « carte blanche » que Cecilia et François doivent à la Ménagerie de verre, dans le cadre de leur « résidence » : une pyjama party ! Il faut deux équipes. Il faut acheter des pyjamas bleu pastel et rose bonbon chez Tati, les deux équipes, alors, par exemple, on allonge tout le monde dans le studio Wigman, on projette un film porno au plafond et on regarde les bites grimper sous les pantalons (il n’y a donc pas de fille dans notre histoire). On mesure les bites. On additionne. L’atelier s’appelle : Qui bande jusqu’au plafond ? « The limit is the plafond », dit Cecilia. Ensuite, l’équipe perdante doit faire une performance pour les autres après être passée sous la douche, c'est-à-dire une performance « pyjamas mouillés ». Pyjamas rose et bleu bébé… Moi, je sais (immédiatement) qui j’ai envie de mettre en pyjama : Felix et Philippe… Ils viennent à La Réunion avec moi, mais j’aimerais tant qu’ils soient aussi au TCI… On passe beaucoup de temps à savoir quoi proposer à manger pendant cette soirée. Je ne suis pas très pour les merguez. Je ne vois pas le rapport. Quand on est en pyjama, c’est pas pour manger, c’est pour dormir… Oui, il faudra, à un moment, que tout le monde dorme, « les filles dans le Diaghilev et les garçons dans le Wigman », dit Cecilia de sa voix de maîtresse. Et pas un bruit ! Je propose le biberon, je ne vois que ça. « Oh, oui ! Et on se biberonne les uns les autres ! » Je dis que je veux bien biberonner Jérôme Bel, je fais le geste, je l’imagine dans mes bras. Le matin, Jeanne m’avait dit que si elle voulait aller voir Sylphides, le soir, elle demanderait à Jérôme Bel de lui trouver une place, je n’avais pas à m’en occuper.

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La Death galerie

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