Saturday, September 02, 2017

G G (rerun)

P resque encore dans la montagne


Là, je suis presque encore dans la montagne, donc avec l’impression — ah ! l’impression… — de ne jamais rentrer (mais vais-je pour autant devenir pasteur ?), mais comme je suis tombé sur une carrière de marbre abandonnée (marbre vert, de la serpentine, tiens-tiens, ça a un rapport — un autre — avec ce sur quoi nous allons nous pencher) où il y avait marqué GG (comme vous voyez), ça m’a rappelé que je devais vous parler de la reprise des cours d’interprétation JOUER COMME GERARD sur le thème de la GENESE (et je m’appelle GENOD, ça fait trois G, en fait) — et d’ailleurs le serpent, voyez, dans notre histoire, qui fout la merde, mais d’un certain point de vue parce que sans le serpent pas d’histoire non plus… Donc les cours d’interprétation reprendront sur ce thème très vaste de la Création du monde, la GENESE, création de l’amour ou par l’amour, est-ce que je sais ? Adam&Eve ou tout autre histoire de commencement, le « commençant » disait aussi René Char, l’enfance aussi bien, ce temps habité d’une puissance créatrice sans cesse en acte (cf Rimbaud, cf Picasso qui voulait peindre comme un enfant) — reprendront le lundi cet automne — avec quelques interruptions, j’ai quelques obligations de tournée. Même principe que l’année dernière, l’horaire évolue avec la lumière (pour avoir toujours le crépuscule). Chaque lundi donc (premiers cours : 11, 18 et 25 septembre, 2 octobre) deux cours de deux heures qui s’enchaînent, on peut venir à l’un ou à l’autre. Lundi 11 : 16h30 et 19h. Participation : 5€, ainsi que 5€ pour l’adhésion annuelle à l’association du café Pas Si Loin qui nous héberge au 1, rue Berthier, à Pantin, métro Porte de la Villette ou Aubervilliers-Quatre Chemins. Tenez, une phrase de Philippe Katerine, on lui demande : « l’artiste absolu », il répond : « Souvent ceux qui me touchent sont des artistes qui se rendent pas compte qu’ils font de l’art . »

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C omme dit...


« Nous sommes tous plus ou moins fous ! »

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Je commence un travail sur Rimbaud, enfin, j’avais déjà commencé (qui n’a jamais commencé Rimbaud ?) J’ai déjà fait deux spectacles sur Une saison en enfer, aux Laboratoires d’Aubervilliers et au Théâtre de la Bastille — là, ce que je recommence, c’est sur les Illuminations. Les Illuminations à l’Opéra-Comique, pour reprendre un titre de Francis Ponge. C’est en effet à l’Opéra-Comique, le 7 et le 8, à 22h. Je ne suis pas seul il y a deux chanteurs de la maison, des barytons, et un pianiste, les places sont chères, 25€, mais donnant droit à une consommation ; c’est sur le principe du cabaret : on peut boire pendant, des petites tables, des petites chaises… Il n’y a pas de générale, ça c’est la misère (donc, en fait, la générale sera la première ! j’espère que le public sera bien luné). Des invitations, on m’en a promis un tout tout petit peu, il va falloir être tout tout très gentil avec moi… (désolé). J’espère que ce commencement de travail rebondira ailleurs, toujours j’adore qu’on me donne un prétexte pour des journées entières... à la BPI !

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T oujours en train


« Il faudrait pour connaître la vie et se connaître soi-même être toujours en train d’écrire un roman parallèle. »

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Titre pour un roman :
Episodes du roman abandonné

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E n pensant à mon père


« Au bout de la vie est un âge amer : rien ne plaît parce qu’on n’est digne de rien ; bon à personne, fardeau à tous, près de son dernier gîte, on n’a qu’un pas à faire pour y atteindre : à quoi servirait de rêver sur une plage déserte ? quelles aimables ombres apercevrait-on dans l’avenir ? Fi des nuages qui volent maintenant sur ma tête ! »

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Finir les livres entamés dans l’été, d’abord