Friday, June 15, 2007

Pochettes de disques




Graphisme Jean-Philippe Dugand d'après les photos de Marc Domage

La haute-couture , c'est fini !


Photo Marc Domage. Soazig Segalou (dans le rôle de Foxy)

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Western (Moreback Moquette)





Photos d'Isabô. Thomas Scimeca, Jonathan Capdevielle dans Barracuda.

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L'Indien ("Je t'aime")



Jonathan Capdevielle

Z'avatars

Julie, Julien






Julie Guibert, Julien Gallée-Ferré

I'm living in a glass house

I’m living in a glass house, see ?
Quelque part à l’intérieur d’une denrée nocturne. Le papier s’enflamme. Brutalité de l’hiver. It was August. Poetic justice. Couloirs de Venise.






Paris désert dans la nuée. Les joues épousées.






Kafka, une ville (faite homme). Escaliers, rues, façades, murs, fenêtres, ponts, portes…
Quelqu’un qui n’a aucune confiance en lui sauf lorsqu’il écrit. Dora Diamant. On est en plein dans la vie. It was a matter of getting to know the history of that town. It was almost like doing two separate films, it really was. On est fait pour tout avoir. Je dis bien : avoir. Il est dangereux, il est dans un environnement calme. Qu’est-ce que je veux ? Qui s’éteint ? Qui sont ces monstres, habillés comme au théâtre ? You know who I am ? Désolé pour le nécessaire. Menace de la région. Des impôts, nous n’en payons plus. I puked in a trash bin on the way. Je n’ai plus d’argent pour Noël. Au dernier round, les coupoles d’or. Le sang. In the blood…

(Les choses vraies.)






Le nom s’accroche à la figure insultante. He’s such an intense animal actor. Tchekhov. Plonge dans le liquide de la photo. Tuer pour séduire. Le feu de la presse. La mort est drôle. Neuf diamants moins le quart. Le beau gosse vit chez ses parents. Is that a problem ? Les plages blanches. Comment atteindre la tristesse de la mort ? C’est le diable en partie. La campagne est préhistorique (je pèse mes mots) : Les couleurs de terre, le climat. C’est un livre sur le bonheur, sa nature et sa fragilité, et, d’abord, ses signes. Paradis des adieux. He opens the shutters,
and the thought is instantly dispersed by the flood of low winter sunlight and by the sudden interest of what’s happening outside.






(If you have any hope for a happy life…)
The person from the beyond.
Quitte à galoper aux confins de territoires ambigus. La chaleur des heures de nuit.
Une collection de brutalités.






Couleurs du lent récit. (Le jour où j’ai repris les couleurs.) Les rochers du cœur plongent dans l’eau terne où nous ne sommes pas. Mais il y a un visage, un reflet. Un visage de neige. Un grand-père, un dieu, Monet à la fin de sa vie, du côté droit, tandis que le printemps se voit du côté gauche. Turquoise du printemps. Printed. Les gens naïfs sont pleins de possessions. Ce qu’ils n’ont pas… On peut nager en découvrant d’autres visages (dans l’aquarium vivant). Les profondeurs aussi bien des sapins et, là, des villes entières. La couleur est sans esprit, mais la couleur t’envahit l’esprit. Et c’est le même paysage, mais c’est un autre paysage puisque, mentalement, on se déplace. Des grosses larmes, les nymphéas, des grosses taches. Il pourrait y avoir un crapaud ou deux, il n’y a que Monet. Cro-Magnon man. Boutons de nymphéas, boutons de clitoris. On ne peut rien faire de plus kitsch et de plus beau. Comment a-t-il osé ? Et c’était pour la France. Tout en violet. Cette pièce aurait offert l’asile au centre d’un aquarium fleuri. Bassin enchanté. Qu’est-ce qui est imaginaire ? Qu’est-ce qui est réel ? Qu’est-ce qui est les deux ? Ce monument.
Ton amour est un toboggan. Mais une personnalité, c’est très précis.






Les murs murmurent. Painful paradox. Ciel de sirop. Le tout mal. Le tout drôle. Dear real diary…






Les étudiants tuent le mobilier. I’m thinking of running away. An orphan. Son enfant, son orphelin. La nouvelle tour. Escalope, mes plus profonds respects ! Il faut un cavalier (pour aller à la nuit). I’m not saying that new isn’t bad. Of course, it is. Fraîcheur au niveau du corps, au niveau des bras. Du malheur. La fraîcheur. L’eau de sable. Le bonheur. Il faut jouer des scènes. Faire le mal pour le bien. I hope you enjoyed your week in the sun. Good night. Retournons à l’état gracieux, à l’état gazeux. Brutalité de l’angoisse. Et s’il n’appelait pas…






Je suis vraiment malade. Aujourd’hui, c’est Guillaume. Non, je raye son nom. Ne pas l’emmerder. J’ai besoin de lui, autonome. Ramenez-le vivant. Non, je raille son nom. Solieil.






Je suis un peu vieux jeu, je voudrais près d’un feu… Cette vie de chandelle m’éloigne… Y a la chaîne des Pyrénées et mes grilles de mots croisés. Ne rien rejeter. Je suis mal orienté pour penser au futur. Mes amis, je me meurs. Vous m’avez aimé. Je n’ai pas su, pas pu, pas eu conscience… On y a cru en juillet, on y a cru en août et, quand on s’est revu en septembre, on n’y a plus cru. Churchill. Ta solitude est une statue qui te prend par la main. Seconde le monde plutôt que ta mère. C’est pas évident. Marcel Proust would say in his famous novel : « You look delicious, you look delicious… »






Porté par le léger, les tableaux vaporeux. Je reste dans la vie. We’re just trying to have fun. Here she is, Madonna. Madonna, folle, joue l’excitation. C’est du flirt américain. You see, we have so much in common. I think we should break the rules tonight. Jusqu’à ce rêve qui disparaît avec la lune. L’attente. Initialement. Qu’est-ce qu’il y a ? Qu’est-ce qu’il y a ? « On se revoit quand ? », ça fait deux questions en une. Ils n’ont pas l’air d’habiter leurs appartements. Vous faites un beau couple, toi et elle. Je ne connais pas ce dont je suis capable. Coupable. Des corps dans des malheurs. Quand Monet peignait. The realm of experience. The world is composed of valleys and mountains. In a world that have changed so much… Quel artiste se plaindrait de fasciner ? Ils ont tout fait. En Amérique, c’est naturel d’être naturel. We always work at quickly as posssible. Casser des piles d’assiettes avec un marteau. François Tanguy, Jacques Brel. Voltaire dansait comme un vicaire. Le cœur au repos, les yeux bien sur terre. Fell in love with a girl. But they expect you to be sorry. Sous la nuit des sapins. Vanity, vanity, all is vanity. Hidden intentions. Pork. Les générations. Nous sommes dans le temps. Protège ta mère du vent… un auvent, un paravent. On a bondit, on a approché du mot « forêt », du mot « pouvoir », « power », aujourd’hui. On a fait ce qu’on a pu, on a senti qu’on avait approché. La vie est toujours vécue malgré les embuscades, les empêchements (impeachment).






Ses robes sont faites de vent et de forêt. Robes of Acceptance. Angelic. Damien, Bruno, Éric, Xavier, Guillaume, Hervé, Yvon, Marcel… On peut toujours marcher sur un tesson de bouteille, on peut toujours marcher sur un tesson de bouteille, spécialement à la grève, spécialement.






The meadow, the pasture. Tout, on peut tout dire pendant une page. Et la pluie, la misère de la pluie ramasse tout dans sa colère et lave et flétrit de bonheur tout ce qui vit au-dessus du niveau de la mer. La pluie de nuit indique à jamais, à jamais.






Plus, jamais plus. Adolescence livresque.
Et animal dans le paysage contre-nature. Sous-marin à l’air, à l’air libre, phosphorescent, présent, gazeux. Largesse, largeur du paysage infini qui n’existe pas – dans cette vie. Les falaises chutent et la terre, l’ivresse et les routes rondes – et les huîtres et le port, tout emporté à l’instant fixe, détaché. La lumière balade la mer en bateau, lumière d’au-delà, pas seule. D’un côté ou de l’autre de la rade, vous plongez en bateau. L’infinité prise dans la poitrine. Et, là, la délivrance.

C’est une seconde de décision. Tu respires. Je sens mon sang.






Quand je respire, je sens mon sang.






C’est un jeu sur le dedans, le dehors. Comment lui dire ? Qui est-il ? Qui est-il, Guillaume ? Pourquoi, lui, a-t-il lu ? Si tardivement, je veux dire, si tard, si tardivement.






Adolescent, j’ai cherché un ami.






Les mots, les yeux des mots sont simplement en contact avec la nature, c’est le secret. C’est le secret, il parle. Et il parle comme le peuvent les enfants (au sens où l’on dit la vérité…)









Yves-Noël Genod Paris, novembre – 3 décembre 2006.









Infatigable nuit perlée.
A derelict airfield. (If you have a taste for terror, you have a date with Carrie.)



La grande salle des fêtes étoilée. Planter des couteaux, des fourchettes dans la mère innocente (la mère qui geint d’amour). Musique sèche. La maison chargée d’amour se détruit dans la passion tandis que l’invisible arrive et le noir. Malade Malin. (The pain I was going through.) The promise of more than light. La jolie mère est juste et aimable, mais elle est folle.



Le contresens.

Y N G à la campagne

Marcus, la vie est un songe






Photos Marc Domage.

Les photos de la neige