Tuesday, July 03, 2018

A llez au fond


Il y a une expo merveilleuse, en ce moment, d’un très grand ami, Nicolas Moulin. (Peut-être certains se souviennent des très beaux spectacles que nous avions faits ensemble, dans le temps : Pour en finir avec Claude Régy, aux Labos d’Aubervilliers, et Le Dispariteur, à la Ménagerie de verre.) Des espèces de bouts d’os, parfois des visages. Des gueules. Comme on en voit dans la lune. Bouts de pierre et l’infini. Bouts de prière. Très fantomal, très habité. Nicolas Moulin est soit fou soit génial. Il a réussi à s’y enfermer vivant. Art brut. Des peaux, des cuirs. Beaucoup de temps. Eclairé par des soleils. Phèdre. Ce sont des astéroïdes dessinés au graphite. C’est Chez Valentin, 9, rue Saint-Gilles, fermé entre 13 et 14h, passez les premières salles les yeux fermés, c’est très moche ce qui y est exposé, allez au fond.

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D ans la salle du tréfonds



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L es Jours heureux


« une gauche qui n’a pas, non pas une théorie, mais au moins une pratique du bonheur, est une gauche qui abandonne le sensible et l’imaginaire à ses adversaires. »

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L es plus belle femmes de stalingrade


J'adore ton orthographe (comme tes ongles rongés), ça m'excite, surtout sur cette phrase : « Je suis sur que si tu te laissé aller tu pourrai avoir les plus belle femmes de stalingrade... » Août, je suis complet malheureusement (grand malheur) (Ouessant, Corse, Ouessant, Lausanne) (Mon Dieu, s'il vous plaît, agrandissez les mois d'été), mais ton juillet ?

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