Tuesday, March 28, 2017

C ’est la réalité des photos qui sont sur mon cœur que je veux


J’ai rêvé aujourd’hui qu’on retravaille ensemble.
Un film, sorte de work in progress qui se ferait peu à peu, qui se monterait peu à peu, avec le temps (le temps naturel) (un peu comme j’additionne des poèmes dans un dossier qui en deviendra le recueil), un truc sur la beauté (of course), l’érotisme sous toutes ces formes (naturelles), un manifeste, un recueil (avec les plus beaux interprètes que j’ai rencontrés et d’autres qui apparaitront) (une chose au final avec beaucoup, beaucoup de souvenirs) (La Recherche et ses cinq cents personnages) (quelque chose qui mélangerait — sans finalité — les interprètes avec des personnages chopés dans la rue ou sur les réseaux sociaux), une sorte de Beauté contemporaine filmée (ce serait sans doute plus facile de les avoir pour une heure ou deux que pour des répétitions d’un spectacle…)
Bien sûr, tu as tellement de talent que tu n’as pas besoin de moi pour faire un film sur la beauté… Mais, bon, on pourrait…
(Forcément expérimental et recyclé...)
« Nous jouissons de tout même de nos souffrances »

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L e Musée de l'Innocence



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Titre (un vers d'Apollinaire) : Une nuit c’était la mer

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U n oiseau langoureux et toujours irrité


La Recherche, par Abel LLavall-Ubach

(Tourné l'après-midi de la générale, le 19 février — où l'on voit que je suis quand même bien malade... et bien énervé qu'il n'y ait pas encore de public — on travaille si mal sans public... mais, enfin, le film est très beau...)

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P hotos retrouvées autour de Wagner Schwartz


Chic by Accident

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