Wednesday, October 04, 2023

S pinoza


« Evitons les passions tristes et vivons avec la joie pour être au maximum de notre puissance »


« La joie, c’est tout ce qui consiste à remplir une puissance » 


« Toute tristesse est l’effet d’un pouvoir sur moi »


« Il n’y a pas de puissance mauvaise »


« Ce qui est mauvais, c’est le plus bas degré de la puissance, et le plus bas degré de la puissance, c’est le pouvoir. Je veux dire : la méchanceté, c’est quoi ? c’est empêcher qqn de faire ce qu’il peut. La méchanceté, c’est empêcher qqn d’effectuer sa puissance. Si bien qu’il n’y a pas de puissance mauvaise ; y a des pouvoirs méchants. Et peut-être que tout pouvoir est méchant par nature. Mais peut-être pas forcément, c’este peut-être trop facile de dire ça… »


« Le pouvoir sépare toujours les gens qui y sont soumis de ce qu’ils peuvent »


(Les gens de pouvoir presque tous malades)


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S ur un chemin urbain dans une grande capitale culturelle, mais on dirait mon père sur une piste de ski



 

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« Shakespeare a écrit des pièces sur le début de la civilisation occidentale, c’est-à-dire sur l’archaïque et la violence. Des histoires originelles et folles dans lesquelles sont ancrés l’humanité et l’Occident. Nous vivons les choses annoncées par ses textes. Toujours actives, elles seront très dures à déprogrammer. »

 « Je sais que ce réel m’alimente : les océans brûlent, difficile d’avoir confiance en l’avenir, impossible de trouver l’apaisement. Mais Shakespeare pose une question majeure que je tente de relayer : raconter la fin du monde, est-ce la créer ? Et la raconter, avec ce spectacle, est-ce accomplir un acte destructeur ? »

« Ce sont deux débiles qui se rencontrent et se montent le bourrichon pour rien »

 « C’est un idiot, insiste Vincent Macaigne. Il arrive sans vraiment comprendre ce dans quoi il est tombé. Je ne veux pas faire de lui un cynique. Il ne manœuvre pas, il est pris dans l’engrenage de fictions auxquelles il adhère sans se poser de questions et qui vont faire de lui l’instrument de la terreur. »

« J’essaie de faire un spectacle presque brut. Ça va prendre du temps d’enlever les couches entre moi et les acteurs, entre les acteurs et le texte, entre le texte et les effets. »

« la grâce du chaos ».

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