Thursday, February 10, 2011

La Mort d'Albertine

(Cliquer sur le titre.)

Une (micro) histoire économique du monde, dansée

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« Parler, écouter, c’est la même chose. »

« Un présent de plus en plus continu, dit-elle dès la fabrication des Américains, c’est-à-dire, d’une certaine manière, un moment où existence et expression sont complètement simultanées... (…) d’une certaine manière, écrire, apprendre, comprendre, c’est la même chose. »



« Cet opéra qu'elle va faire, c'est quelque chose à mi-chemin entre le théâtre et le paysage... »

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« Le génie, au fond, c’est quelque chose de complètement passif. »

« Le moment où la pensée est la moins réflexive. »

« Comment on peut faire pour évoquer les choses sans prononcer leur nom. »

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Quelle est la question ? S'il n'y a pas de question, alors, il n'y a pas de réponse

« Elle a dit, en émergeant d’un petit sommeil : « Quelle est la question ? » Et je n’ai pas répondu pensant qu’elle n’était pas encore complètement réveillée. Alors elle a dit de nouveau : « Quelle est la question ? » Et avant que j’ai pu parler, elle a continué : « S’il n’y a pas de question, alors, il n’y a pas de réponse. »



« La composition, disait-elle, c’est ce que chacun voit dans la vie quotidienne, c’est ce dont chacun fait partie au moment où il vit. »

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Gertrude malade

Bon, je prends le train avec toi, lundi.
Pique de la neige, hein ? (Je t'aiderai à porter...)
Sinon contes de fée, métamorphoses (la sorcière est une belle femme, etc.), mythes (métamorphoses femme poisson femme oiseau femme serpent femme homme mère petite fille etc.)
Et puis du banal, j'imagine (métamorphoses aussi).
Dans la première partie (50 mn-1h), tu n'apparais que – assez tard – pour éteindre un interrupteur hollywoodien (je veux dire que tu éteins une bonne partie du cosmos). Dans quelle robe ?
Donc il y aura donc une deuxième partie (peut-être même avec entracte...)
Jean-Paul Muel a peur d'avoir peur et a rien à se mettre...
Donc, j'ai peur que ce soit un peu foutu pour cette période... On va voir... On est en négociation...

Des bises

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