Tuesday, August 30, 2011

No Sex Last N...



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Siècle d’or

« L'œuvre de Baltasar Gracian peut se diviser en deux parties : dans la première, qui va du Héros (1637) à L'Homme de cour (1646), il s'attache à construire la figure de « L'Homme universel », sorte de héros mondain doué des vertus nécessaires à la réussite dans la société (au premier rang desquelles la vertu de prudence), dans une perspective qui n'est pas sans rappeler, au moins en apparence, Le Prince, de Machiavel. Dans la seconde partie de son œuvre, constituée par Le Criticon, Gracian s'emploie à anéantir cette figure construite au fil des ouvrages antérieurs, et à condamner « sans appel [le] monument élevé par lui à la gloire du Héros ». »

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La Grâce, ce mérite sans fin

Objet : Maître de la qualité des heures

C'était extra-vagant, ton interprétation, ce soir, Yves-Noël, une belle première pour cet Atelier intérieur, tout en élégance, tact et galance. Ta voix, ton timbre, tes reprises, tes bifurcations, tu m'as fait penser à ce despejo que décrit Baltasar Gracian dans son Homme de cour, tu es dans ce je ne sais quoi leste et volatile que déclinera plus tard Jankélévitch dans La Manière et l'Occasion. Tu sais ce que disait Louis XIV* : « J'ai tout donné à la grâce, rien au mérite ». Une amie me dit ce soir : « La grâce, ce mérite sans fin ». C'était tout à fait toi dans l'émission de ce soir.
Par toutes les ondes, porte-toi bien
vv



(Violette Villard.)






* Ça a l'air d'être plutôt Le Régent (l'ami de Saint-Simon qui succéda à Louis XIV).

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Les grands blonds

Dis-moi, ce soir je commence une nouvelle émission (France Cul, 23h) avec Aurélie Charon. Tu vois qui, tu te souviens ? Y avait eu un feeling d'au moins qq secondes entre vous devant La Condition des soies. T'aurais pas un compliment bien hétérosexuel à me souffler pour la détendre ? C'est sur le thème de l'adoration... Yvno (Sorry pour hier soir.)






Trop chou ! Bien sûr, je me souviens parfaitement d'elle, d'autant que nous nous sommes revus en Avignon cet été ! Tu me diras comment et quand écouter l'émission ?
Alors t'as qu'à lui dire :
« J'aurais voulu vivre au XVIIIième siècle, pour avoir une esthétique physique et vestimentaire proche de la tienne, et que tu tombes dans mes bras. »
ou alors :
« J'ai toujours été fasciné par les peaux diaphanes, et voir courir le sang dans tes veines sous ta peau fine, me fais trembler. »
Ha ha ha
ou alors :
« J'avais un flamant rose quand j'étais enfant, et, je sais pas pourquoi, quand je suis avec toi, je pense à lui. »
ou :
« Tu sais que les grands blonds ont des sexes plus longs que les petits bruns ? »
Si elle est toujours aussi tendue, propose-lui une bière belge à huit degrés.
Ça va, ça ? Tu me diras comment ça s'est passé.
Love
F.


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Le Cadeau d'une chanson

Olivier Steiner – re-nommé en ce moment : ange – envoie un mail à Aurélie Charon qu'il ne connaît pas pour qu'elle passe dans l'émission cette si belle chanson pour moi (ce qu'elle a fait). (Cliquer sur le titre.)






I Go To Sleep



When I look up from my pillow
I dream you are there with me
Though you are far away
I know you'll always be near to me

Yeah, I go to sleep
And imagine that you're there with me
I go to sleep
And imagine that you're there with me

I look around me
And feel you are ever so close to me
Each tear that flows from my eye
Brings back memories of you to me

I go to sleep
And imagine that you're there with me
I go to sleep
And imagine that you're there with me

But I was wrong, I will cry
I will love you till the day I die
You alone, you alone and no one else
You were meant for me

When morning comes again
I have the loneliness you left me
Each day drags by
Until finally my time descends on me

I go to sleep
And imagine that you're there with me
I go to sleep
And imagine that you're there with me






Chéri, merci ! Ils ont coupé beaucoup des réponses aux questions (on l'a enregistré avant...) Mais, enfin, ça a donné le ton ! On te réengagera. Merci pour la chanson – mais c'est quoi ? (j'avais honte, j'étais incapable de leur dire pourquoi tu me l'avais envoyée – et j'ai toujours honte...)



C'était drôle et beau... J'ai bien rigolé, la chanson c'est une reprise des Pretenders, elle est belle, non ? Honoré aurait dû mettre ça sur la mort de Chiara

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Ça se passe bien a Nevers

Mon cher Yves-Noël, je te remercie pour ces photos, elles sont très belles, il faut qu'on en fasse d'autres...
Ça se passe bien a Nevers.
Gros bisous
Romain




Romain Flizot.

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