Commissaire Yves-Noël
Dear (comme m'écrit souvent Frank Smith, qui n'est pas venu voir Hamlet et c'est dommage, peut-être qu'il a cru que c'était, horreur, à la Halle aux Chaussures ! et nous, nous allons être condamnés à bosser non plus pour France Cul mais pour TF1, nous serons riches et cons, voilà), je suis heureuse de vous voir heureux sur scène, Thomas en cow boy de plus en plus Je t'aime moi non plus, Yvonnick qui voit La planète des singes sous Hamlet, Frédéric douloureusement conscient (je lui ai dit que j'adore quand il lit ce message qu'il t'avait envoyé et je croyais qu'il y disait "comme tu parles souvent de Duras", mais non c'était "un peu de Duras des fois" qui est très joli aussi). Je vous aime tous énormément, tu me manques un peu à ne pas rire tout haut du fond du public comme tu le fais parfois. Je viendrai à la dernière mais pas ce soir (écriture, projo de presse puis soirée d'adieu pour les amis allemands, visionnage d'un film hambourgois sur notre mini écran géant, dîner livré par Jochen, présence de Frédéric Danos, si tu pouvais passer, tout le monde serait content. Herbert a imaginé une série policière dont tu es le héros, Commissaire Yves-Noël, tu prends des notes sur tes petits carnets et roules à Vélib, tu résous des énigmes un peu à la manière de Colombo, parfois ton père, déguisé, t'aide). Je t'embrasse.
Hélèna
Hélèna
Labels: hélèna villovitch yves-noël genod hamlet dispariteur