Robin Causse Abricot Être prêt à... plonger continuellement dans un nouvelle piscine, dans un nouveau lac, dans une nouvelle mer, dans un océan inconnu...

Yves-Noël Genod EXACTEMENT !
59 minutes ago ·

Robin Causse Abricot I knew you'd like it Yves-No ! I thought of you.
18 minutes ago

Cherche des acteurs pour jouer une pièce intitulée

Dans le salon du déplaisir

Dîner en ville

C'est difficile qu'un texte n'en soit pas un.



Il y a plus de théâtre dans la vie.

Avec Jo, au téléphone, on reparle de cette soirée chez Philippe Baumont où Toto n'a pas cessé de s'aboucher à lui bestialement (bestialement veut dire amoureusement) - et après - ben rien. Je lui répète ce que Thomas m'a dit, qu'il a fait semblant de dormir pour qu'il se calme. Jo confirme. Oui, c'est c'qu'il a fait. Je lui dis qu'il aurait dû lui mordre la bite. Oui, c'est ça, il faudrait le violer. Tu aurais dû lui dire : "Soit tu m'encules, soit j'te la coupe." Oui, et ça ferait un bon titre pour Avignon, ça. Soit tu m'encules, soit j'te la coupe. Mais, pour Avignon, j'ai choisi plus sobre, j'ai choisi : Le Parc intérieur. Ce sera une variation sur Vénus & Adonis.

Dans une combe, sous un zeste de brouillard

Being poor themselves, they follow Christ who was poor
De son visage prisonnier de son masque
Se laisser flotter dans tout le n'importe quoi
Puisque c'est comme ça, ne pas aller au fond
Being poor themselves, they follow Christ who was poor
Le faux pas de la fiction (qui fait son charme)
Marie Stuart vêtue de rouge, mais nue, mais dénudée
Sur une couche de jour, de toujours ou de nuit
Being poor themselves, they follow Christ who was poor

Je suis qui ?
Je laisse défiler
l'image et je
me regarde dans la
glace
Elle de la lumière

Belle du soir

"On entend souvent dire que l’art a pour charge d’exprimer l’inexprimable. C’est le contraire qu’il faut dire : toute tâche de l’art est d’inexprimer l’exprimable."