Lorenzo pleure (Rushes 1er avril)

Filmé par César Vayssié.

L'Epoque

Charlotte Clamens

Oh là là, ça donne envie ! Est-ce que tu acceptes les vieux ?!
Je viendrais bien chanter à Marseille pendant quinze jours dans un décor lynchien... Charlotte



Pfff... zut alors ! Et pourquoi ça ne marche pas à Marseille ? Bon, ben, moi aussi, depuis hier, je sais que les projets que j'avais pour la saison ne se font plus, comme quoi ! A une prochaine, j'espère

Yves-Noël Genod
C'est dingue, cette époque...

Charlotte Clamens
Voilà, voilà... Faut se remettre à réfléchir beaucoup pour voir comment travailler à ce qu'on aime.

François Gremaud

Cette histoire est horrible. Je n'arrive pas à comprendre comment c'est possible. Je vais essayer d'activer mes réseaux, te tiens au courant. C'est très triste, tout ça. T'embrasse.

27 minutes ago - François Gremaud
Une amie, Céline Nidegger, peut accueillir deux personnes sur Genève pendant les dates que tu m'as données. C'est hélas tout ce que j'ai trouvé. Tu peux la contacter sur Facebook. Je t'embrasse.

a few seconds ago - Yves-Noël Genod
C'est gentil ! Je crois que c'est de toute façon foutu... Je n'ai plus de nouvelles de Véronique... Et j'arrête de lui en demander. Les prix des billets de voyage ont triplés (et, déjà, à l'origine, quand on avait le budget, on devait prendre les moins chers...) Du coup, j'ai libéré les acteurs d'une attente, comme ça, insupportable (les gens ont des vies !) Je ne sais pas ce qu'il s'est passé, j'ai trouvé Véronique charmante jusqu'au bout - mais, enfin, là, je dois dire, de ne pas mettre un centime (je plaisante pas, son comité lui demande le « risque zéro » !) à moins d'un mois du festival, c'est un peu raide, voir « fou ». Il fallait tout payer, louer la salle, etc. Pourquoi faire partie d'un festival, dans ce cas ? La salle, je l'ai louée, mais c'était dans le off, à Avignon. Pas à Nyon, une salle municipale ! Mais c'est l'époque, sans doute, la nouvelle époque, j'ai appris avant-hier que le projet de Marseille en septembre se cassait aussi la gueule (que l'Afdass ne mettait pas d'argent)... Du coup, si c'est une série, ça peut devenir intéressant... Un, je pleurais, deux, je ris (et j'attends la troisième de pied ferme...) Bisous YN

Gildas Goujet
Cher Yves-Noël,
La situation est difficile, mais sachez que vos spectacles, vos « interventions » sont une telle bouffée d'air frais !
J'ai vu Barbara, la présentation au centre culturel suisse, l'intervention avant le film de Jeanne Balibar à Pantin, à chaque fois je me suis demandé comment vous alliez vous en sortir, et vous ne m'avez jamais déçu.

Courage !

Gildas