Friday, August 26, 2016

Marie Payen
Pendant ce temps, je me trouvais sur une île au large de la Grèce, où l'essentiel de la discussion tournait autour de la force du vent, de la densité de l'air et de la vitesse de déplacement des nimbus, quel luxe c'était, se disait mon cerveau, et comme je voulais retenir les jours jusqu'à respirer de nouveau l'air de l'état d'urgence. J'en ai tellement marre. On redort dehors à la rentrée ?

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L a Chaleur sublime, les Africains à Paris...



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V oir


« In my language, Igbo, the word for ‘love’ is ‘ifunanya’ and its literal translation is, ‘to see.’ So I would like to suggest today that this is a time for a new narrative, a narrative in which we truly see those about whom we speak. »

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Mon chéri... Je l'ai revu tout à l'heure. Il a les cheveux plus courts, mais c'est plus pratique quand on ne travaille pas. Moi aussi. Vivement qu'on nous (re)prenne pour des stars !

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C’est bizarre, j’avais oublié ce mot, « fruiterie », pourtant bien utile. Duras l’emploie : « Il y avait peu de boutiques, de temps en temps une fruiterie, une boucherie. » Je m’étonnais récemment de dire : « magasin de fruits et légumes »… Il est vrai qu’un peu plus loin, Marguerite Duras parle de « café exprès » (on est en Italie, après-guerre) (à moins d'une coquille)
« Le cerveau est un organe extrêmement plastique. »

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« Nobody is ever just a refugee. »

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