A u courrier ce matin
Le public est mort
Le théâtre n‘a plus lieu d‘être.
En attendant de crier : vive le public !
Arrêtons de faire semblant.
Ecoutons, entendons.
Et découvrons.
Je t'embrasse,
Laurent
Labels: correspondance
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posted by Marie-Noëlle Genod, le dispariteur at 3:19 AM 0 comments
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