Saturday, January 26, 2008

To sense impressions

A dead body conservé à travers la résine de l’eau. La nuit, l’ennui, précisément. Ce week-end, je ne peux pas. Pareil à la panthère, je guette ma proie… Dans mon adolescence… But I… won’t be sorry, if you won’t be.

God, why won’t he wake up ? Pris dans la verte présence, sous l’eau. Et les poissons mangent les poissons. Des truites – et dans l’eau de la rivière, un corps vivant. L’ambre. La musique. Perdu, permis… I need company. C’est tout simple. On ne peut pas savoir tout d’un seul coup. Alors je vais lire. Lire les images, les inimaginables images…










C’est tout c’qu’il a trouvé à dire… Fleurs… et je cherche à l’intérieur de la fleur… Oui, le petit-déjeuner. Oui. Actif, chacun. The band is playing somewhere. Ailleurs, les rires d’hommes se mêlent aux cris d’enfants. Dans ce favorite land. La voiture a versé… j’ai été emporté par l’eau. It’s about it.










Je voulais pas qu’elle s’affole. Virtual reality. Your hands stink. Wet pussy. Une fille de vingt ans. Nue, naked. Each episode. A good punishing kiss. Violette verdure. Blanche l’eau, la chemise, la nuit.










And he punched the window of a car cause he’s lost the keys inside. Parler et chanter. Et pianoter.










J’entends une phrase, j’entends la rivière d’une phrase. J’entends la risée d’une phrase. Les mots mènent aux actes. Ils préparent l’âme et l’amènent à la tendresse. Le recueil du détruit. Sauvé par réanimation.

Je refais le film. Dans le petit hôpital, le petit studio. Pantalon rose, pantalon blanc. Une banlieue rose, une banlieue verte. Jeopardy, maybe. A lot of things that didn’t make sense. J’entends. Et la rivière. Et je ne sais pas si – vous entendrez...

Et la mer et les mouettes, maintenant. Mais l’une a disparue.










Les images religieuses. Une porte s’ouvre. C’est la même porte. Vers le coucher du soleil. Just about sunset. Les dorés préraphaélites. But I don’t wanna cry anymore. Daddy, why can’ I have a monkey ?










La paix. La paix… Foutez-nous la paix…
En général, ça s’casse dans la demi-heure qui suit ; c’est de la viande à balai, ces trucs-là, j’en ai un peu mare de… Un petit prince, un petit trésor. Arrête, tu vas m’écraser mes steaks ! Si seulement y avait des cours pour soi toute seule… La réconciliation. Les formations nuageuses. Toujours les pins accrochent, accrochent l’or et la lumière. L’or et le ciel.

Plein jour, lecture – et, pleine nuit, lecture encore.










Ciel nocturne, politique, films érotiques, blues. « Dick »… I never say that word… – « Cock », whatever… Être au courant suffit. Des menaces aux acteurs… Suicidaire… Porte la musique à l’intérieur de la boîte. Une scène facile à jouer. Les reflets, la lumière sur la viande et la chair. Here’s the categories : little songs, celebrities, cooking, family life… One of the a priori conceptions applied by the mind to sense impresions. Elle laisse le gaz s’échapper, tandis que sa mère chante. Tu me veux peut-être du bien. Chanson appropriate. Some good. Dans la même fumée. You may mean me some good, you may mean me some harm… You maybe a fire, you maybe a false alarm… « Au secours ! Au secours ! », elle criait. Oh, he couldn’t help her, she was dead !

Détruite à l’intérieur – et finalement rien ne change. L’aube et les malheurs. Manipulés.










Smoking good time.
La fumée envahit l’écran, sous diverses formes et dans divers lieux. La fumée mallarméenne. Danser comme à Hawaï, à la Fête des Fleurs… Boire et jouer – et poursuivre les enfants. La lumière, la flamme, la nature… (Discretion around the little ones…)

Un sens vous manque. Vous êtes dans la nature, un sens vous manque. Je répète : un sens vous manque.










Il l’a tuée avec une pierre, juste avant le tremblement de terre. Et, partout, dans tout le pays, ça tremble en même temps. Don’t worry, it’s not The Big One. Les choses tremblent et, parfois, blessent. Éloignez-vous des lignes électriques. En voiture, Simone ! On s’embrasse. The family. Family tree.

Nous savons ce que nous aimons. Nous aimons ensemble.

Obviously, it’s not as bad as 8 ! One minute, you’re filled with happiness… Next minute, it’s nothing but pain… Tu trouveras aussi la pluie. Des grandes plages de bonheur. Oui, si l’on remet dans l’ordre. Je suis un prisonnier… de la vie. A prisoner of… life. Pour diverses fractures or injuries…










Yves-Noël Genod, 26, 27 janvier 2008.

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Mars

Les daltoniens. Les « stagiers ». Enfance et libération. La fameuse voix off. Régions religieuses. Grands, libres, entiers. L’atmosphère de Mars. Les vaches ne pètent pas, elles rotent. Mars a vieilli plus vite que la Terre. La glace dans le sous-sol de Mars (mais pas très loin, un ou deux mètres). Les rizières, les marais, tout ce qui est fermentation (et puis les sources, les fuites de gaz naturel, elles aussi d’origine biologique). Certains prétendent que l’étymologie de « Fontainebleau » vient d’une mauvaise prononciation de « Fantôme bleu ». Toujours les pins accrochent l’or et le ciel. La folie graphique. La pleine forêt. Et, dans le train, l’eau, entre deux vitres – Hélèna dit : « La mer. »

Tantôt on nage dans le bonheur… Lion fish like gold fish. La vulgarité souple.

Où sont les passions, où est la connaissance secrète ?

La voiture courbe. La vie aurait pu changer. That was the deal : no more lies. De t’amuser… L’oiseau, l’oiseau-flic, le hanneton.

Le désert – et les tentes transparentes, l’eau partout… Près de la nature, près de la rivière…










Yves-Noël Genod, 26 janvier 2008.

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Le fouillis.
Blanche ligne pleine de force et d’oubli. Puis, plus tard…
Dorothée qui m’dit qu’elle est claquée aussi. Un peu ronde, mais très jolie de visage – non, vraiment chouette. Le retour à Annecy. La distraction. La ville mélangée.

La porte était ouverte.
What do you think you’re doing ? From a diamond field of South Africa to the canals of Amsterdam… What do we do, honey ?










Yves-Noël Genod, 25 janvier 2008.

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