Tuesday, February 24, 2015

Z elda, livre d'or


Moni Grégo
Toujours magique, magnifique, désaxé, des âmes de poètes dans des corps d'athlètes, des êtres chimériques divins, enfantins, animaux, si proches que c'en est adorablement indécent


Aurélie Charon
J'ai adoré la lumière et ces deux beaux premiers corps luttant. Ça aurait pu durer toute la nuit. La suite aussi mais, ça, ces images premières, reste très fort. C’est toi qui es très fort, as usual. Merci mille fois et à très vite *** Aurélie

Violette Villard
Aérien ton Zelda, quelle élégance cet Adrien Delonien par excellence et ce combat Viscontien aux gants d'or en apesanteur ! Tu arrives presque à nous faire croire à l'ampleur et à l'élasticité de l'espace dans une salle si exigüe. Beauté continue de toutes les séquences avec ton Zelda si fin si sobre.
L'ultime de la séduction est sans doute un dessaisissement de la volonté, un non-savoir de son aplomb. Ton Adrien a cette grâce et infuse tout ton spectacle.
Aimé aussi tes césures. Des sortes d'évanouissements.
Merci encore à toi Yves-Noël pour cette « survivance des lucioles »
De Pigalle, Violette

Dominique Issermann
J'en aurai à te dire des bonnes choses...  Tu es génial ! Je t'embrasse Dominique

Philippe Katerine
Merci Yves-Noël, j'aurais adoré voir ça, mais je me situe actuellement à Bruxelles. Tes spectacles me manque. J' espère bientôt. Je t'embrasse. Philippe

Bruno Perramant
Je reste dans ma maison. Les fleurs sont en train d'éclore.
Je recommence à peindre. Un petit peu de Zelda sera un mirage.
Pour le moment.
Succès !!!

Alice Ramond
YvNo c'était très beau hier ! J'ai adoré le Sacre avec tes beaux éphèbes qui luttent contre des fantômes. Où les trouves-tu ! Et Elvis, et la longue robe noire, et le casque de moto, et l'arbre qui fait du bruit en tombant. On a filé vite, mais à bientôt, des bises, Alice

Dominique Hervieu
Cher Yves-Noël, j’ai dû partir très vite après la représentation. J’ai trouvé ton spectacle plein de poésie et d’intensité surtout toute la partie du Sacre.
Je n’ai pas vraiment accroché à la dame en rose qui de mon point de vue me faisait trop décrocher du climat du Sacre. De toute façon, beau travail ! 
Je ne pense pas le programmer, mais je te remercie de m’avoir encouragé à venir le voir. 
Je t’embrasse,
Dominique

Erwan HaKyoon Larcher
Yves-Noël, j'espère que la grâce était là avec vous, par vous hier soir à Vanves. Vous, elles-eux que je n'ai pas vu.
Je n'ai pas pu rentrer... quelle rage... il m'a fallu — tu t'en doutes — beaucoup de force chevaleresque pour rentrer chez moi. J'avais la sensation en passant la porte de sortie du théâtre que je ratais quelque chose. Dans le sens de foirer quelque chose avec toute l'incompréhension qui nous perd à ce moment-là. Au fur et à mesure que je m'approchais du métro dans cette longue rue triste et froide, quelque chose de privilégié se déroulait, loin de moi, de plus en plus loin... ah oui bon.. c'est comme ça me suis-je dit. Et ce fut comme ça.
J'ai imaginé ce que pouvait être cette installation lumineuse et ces corps dansants, présents, jeunes et beaux que les photos publiées depuis quelques jours me laissaient présager. Mais rien de tout ça vivant pour mes sens. Qu'importe, je patienterai pour la prochaine fois  — évidemment autre chose —, quoique que, quand tu parles de remixes tu as peut-être raison, tellement de choses différentes mais au fond, une beauté si commune à toutes. 
À plus tard.
Erwan


Véronique Théau
Bonsoir,
Hier soir au Panopée,  j’y ai vu des fragments de vie,  des corps beaux :-) dans une lutte infinie...  Des images furtives  et suffisamment entêtantes pour résonner encore longtemps dans ma tête.
Un petit peu de Zelda s’apprécie à froid  (le lendemain...) enfin, c’est mon cas ! un coup  de  foudre à retardement. Ce doit être ça le génie de YNG.
Merci  Yves-Noël de me faire vivre toutes ces émotions.
Anecdote : Hier soir, nous étions assis côte à côte ou presque, j’étais à droite de vous. Il y avait juste une personne entre nous qui m’accompagnait. Vous preniez des notes sur un petit carnet. Je me suis demandée si vous aviez écrit : y a l’étiquette (lol) qui sort de la robe pailletée de ce corps lumineux et bien d’autres choses encore....
Ben voilà,  c’était  un moment unique comme toujours.
Véronique ThéauJasmin

Jeanne Alechinsky
Merci à toi Yves-Noël Genod c'était magnifique, important et on a dansé avec l'invisible. Merci merci merci


José Alfarroba
J'aurai tant aimé être avec vous !
Mais de l'autre côté de l'équateur, j'ai beaucoup pensé à toi, à vous... et je suis très heureux d'avoir initié avec toi les nombreux et magiques spectacles que tu nous a offert tout au long de ces 10 dernières années !!!
Cette maison était aussi la tienne et avec la nouvelle équipe ça continuera.... J'en fais le Vœu !!!!
Merci mon très cher YVNO... merci d'être là, et jamais au même endroit !
Beijos do Brasil !!!

Jeanne El Meliani
Les lignes bougent, on se perd dans les limites du « show » et des conventions, ce qui reste à deviner c'est entendre la poésie qui sommeille en chacun de nous. Yves-Noël Genod et son gang viennent frapper à notre porte, rire au seuil de la tragédie, c'est entrer dans la dramaturgie sans craindre d'y laisser trop de chagrin, c'est beau, ça vous demande de réfléchir sur un autre ton (sans forcer). Je ne sais pas pourquoi mais Andy, ici Wagner Schwartz, m'a beaucoup parlé… Bravo à tous !

Manuel Durand
Très curieux et très heureux d'avoir vu. D'une grande beauté


Thomas Scimeca
Suis parti avec la voiture d'une amie. Je travaille à 6h demain . C'était très beau. J’ai adoré la fille et son histoire de cul et le black aussi. Pas évident de tenir son truc avec le mec bourré derrière lui qui fait des blagues. Et il est génial en boxeur. Des bisous
Vive le Sacre. Quelle splendeur ! Ça n'aurait pu être que ça : La boxe la boxe la boxe la danse de la boxe et les lumières et les ralentis : comme du cinéma américain. Kiss


Vincent Darré
Bonjour Yves-Noël 
Suis sortis rêveur après ton magnifique spectacle Magique Électrique Psy Chic !
J’ai parler à tous mes amis dont le directeur du festival de Spoleto Giorgio Ferrara marié à Adriana Asti grande amie et grande actrice ! qui regrettaient tous deux d’avoir rater ce spectacle et pensaient t’inviter au prochain festival… 
Si l’idée te séduit ? on organisera une rencontre quand il reviendrons à Paris 
Encore Merci de ton invitation… Elie était jaloux d’avoir rater ce merveilleux miracle  
Tantis Bacis de la Mâtina 
Vincent 

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Zelda, ce soir 19h30, théâtre de Vanves (salle Panopée) : à ne pas louper !





Photos Marc Domage : Jessica Batut, Adrien Dantou, Jonathan Foussadier

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F euille de salle Zelda, Vanves


Yves-Noël Genod présente

Un petit peu de Zelda

(remix)

Tous mes spectacles sont des remixes, mais celui-ci a, plus facilement peut-être, la possibilité de renaître de ses cendres. Un petit peu de Zelda, c'est une installation lumineuse de Philippe Gladieux, un procédé qu'il a inventé. Un outil qui permet d'interpréter la lumière, c’est-à-dire de jouer une partition où la lumière reste vivante, toujours insaisissable. Philippe a aussi la possibilité d'intervenir au stylo pour atténuer, rediriger les effets, dresser les nuages. Il saisit ou non cette opportunité. Ainsi le contenu du spectacle est libre, il est inventé par les interprètes et par vous et par moi. Il est fait de la matière de nos rêves, de vos rêves. Il est extra et terrestre, comme disait une amie... C’est donc une version inédite que le dieu du hasard a bien voulu nous… Non, je ne veux rien dire... Laissez-vous aller...

Yves-Noël Genod


Avec, par ordre d'entrée en scène :

Adrien Dantou
Gaël Sall
Wagner Schwartz
Jonathan Foussadier
Grégory Carnoli
Jessica Batut

Assistant : Simon Bomo
Assistante stagiaire : Helen Héraud
Remerciement à Marc Toussaint

Production : Le Dispariteur
Coproduction : Théâtre de Vanves, la Ménagerie de verre, Théâtre de Gennevilliers
L’association Le Dispariteur bénéficiera, en 2015-2016 d’une aide à la compagnie attribuée par la DRAC Île-de-France

Le spectacle est dédicacé à Philippe Lançon

Durée : 1h30



«  Et ça, c'est trop transparent ou pas assez ?
— Ça dépend si vous voulez montrer la vérité.
— C'est comment la vérité ?
— C'est entre apparaître et disparaître. »
 Jean-Luc Godard, Détective



Yves-Noël Genod ne se présente lui-même que comme un « distributeur » de poésie et de lumière ; il n’invente aucun spectacle qui n’existe déjà. Il fait passer le furet, « passé par ici, il repassera par là », il révèle. En effet, pense-t-il, la révolution, c’est la redistribution des richesses accaparées. Son art a été qualifié de « théâtre chorégraphié ». Ce comédien prétend s’effacer derrière son œuvre qu’il désirerait n’être que trace infime, dérisoire, inutile, mais dans l’optique pascalienne qui dit que : « Nul ne meurt si pauvre qu’il ne laisse quelque chose »...


Yves-Noël Genod a présenté au festival Artdanthé quatre pièces : Dictionnaire des Açores, C’est pas pour les cochons ! (collaboration avec Kataline Patkaï) et Hamlet dans sa troisième version. Un petit peu de Zelda est la deuxième version du spectacle déjà présenté à la Ménagerie de verre

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