Sunday, April 17, 2016


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A l'hôpital



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G ui



« Este camino
nadie ya lo recorre,
salvo el crepúsculo. »

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F iesta


La fête des Fallas à Valencia, je ne pourrais rien en dire — ne cherchez pas non plus sur mon blog — à part que les Espagnols sont complètement fadas. C’est ce que je peux dire de mieux. Complètement fadas ! Alors, ce matin, la ville de nouveau lavée de tout péché, j’ai pris un taxi qui m’a amené à la plage avant de me ramener à la gare et d’où j’ai choisi cette carte postale. C’était comme si rien ne s’était passé. A peine la foule s’était-elle éparpillée vers trois heures du matin que les machines se sont mises à nettoyer les rues. La semaine prochaine (enfin, tout de suite), la folie recommence parce que c’est la Semana santa ; alors si quelqu’un connaissait un hébergement possible n’importe où en Espagne pour cette Semana santa (à Sevilla, Granada, Córdoba, Zamora ou dans un village…), je crois que c’est à faire au moins une fois dans sa vie.

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G rand Palais


Avec ... on partait au cinéma, au théâtre. On partait à Trouville. On rêvait de faire une expo au Grand Palais. On saluait des amis. On en avait beaucoup. On téléphonait. Dans les G7, les Uber, au théâtre, au cinéma, on mangeait du chocolat. On rangeait la maison. On rêvait de château, de théâtre, de cinéma. On partait pour Trouville. On essayait des fringues. Les nouvelles collections. On faisait des photos. Givenchy, Dior, Valentino. Des costumes invraisemblablement sexy pour des jeunes garçons sans retouches. On n’effaçait pas les tatouages. On attrapait froid. C’était avril. Ça passait vite. On voulait retenir le printemps, le bois, les herbes, les fleurs à l’extérieur. Dans la rue, dans la ville, l’air était liquide. Les allergies moins fortes. (Mais l’eau qui sortait des robinets avait une odeur de piscine.) Le gouvernement s’effondrait. On n’en parlait plus. C’était ça, le signe que le gouvernement s’effondrait : on n’en parlait plus. On évoquait Roland-Garros. Ça aussi, on disait non. La mère risquait d’aller en prison. Son procès aujourd’hui. Elle ne téléphonait pas. Le riz noir et le riz blanc. L’assistante inculte du médecin. Dom Juan et Sganarelle. La scénographe assise à côté. On prenait des taxis, on mangeait du chocolat, on mangeait dans des restos qu’on aimait. On parlait du futur, du passé, du présent. On évoquait le dernier disque de .... Les gouvernements s’effondraient... 

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D écor



T rouville


« Un soleil ras et violent élargissait les ruelles et la plage. »

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« Ne plus écouter personne pour éviter d'être d'accord avec le dernier qui a parlé. »

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L e Fugitif


— Ne prends pas cette tête de fugitif !
— Je prends la tête que tu veux. Je suis acteur. Et je crois que c'est ce qu'on veut que je joue, non ? le rôle du fugitif (tu me le fais remarquer). Je n'ai plus de travail, mais je peux encore jouer

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« Je ne veux pas tirer avantage de ma célébrité. »

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C onseil aux jeunes


« Jouissez de la vie, il est beaucoup plus tard que vous ne pensez. »

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S tipulé


« Détectez les aliments qui vous irritent, évitez les excès de nourriture ou de boissons alcoolisées, buvez 1,5 litre d’eau par jour, refusez le tabac, méfiez-vous du soleil, reposez-vous ! »

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L a Fadeur des jours


« Pas d’existence sans épreuves, pas d’affection sans abandon, pas de lien sans déchirure, pas de société sans solitude. »

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« Les différents mondes ne se rencontrent jamais même quand ils baignent dans la même eau. »

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