Récit de voyage / By myself
Récit de voyage / By myself
Rétablir le miroir
« Effacement dans la main du vent »
Version Sylvia Plath de
« Je n’m’enfuis pas, je vole »
People of stars
Dans la mêlée de sable
Les visages attendris
À l’aéroport, il y a des messages
« Why are we waiting ? »
Et
« 2010, ça commence ce soir » (« L’Équipe »)
Et c’est vrai que c’est
Une longue journée
Talking nothing with you
Encore la ville, les petits
Pieds de la ville
Piece of art
Le spécialiste de hair
Transplantation est complè
Tement chauve. Robert M.
Bernstein
Le jardin londonien
La surface de la terre
London représentée par
Un ciel bleu sur mon
Portable
Monde de Londres
« You know where
You’ll be in 24 hours »
« Happiness an
International language »
Le hublot est brûlant
Il reconstitue son visage
Par petits bouts
Il peut se noyer dans la mer
Fictive
J’ai chier dans l’avion
Le paradoxe du
Truman Show : on arrive
À y croire alors qu’on ne
Peut pas penser 1 seconde
Que Fred Astaire (remplacer
Le nom) ne joue pas
Il est materné
Mais la voiture n’est
Pas fausse, elle, c’est une
Vraie voiture
Une voiture est-elle vraie ?
Et l’avion
Mais le signe des dents
Parfaites
Suis-je le père de
Cet enfant ?
Les émotions longues
Mon petit carnet
Pisser le sang
La banane de sang
L’incompréhension pleut
– Pleure
My hand does not
Shake ever
Problems and doubts
…Not problems but
Doubts
(Pour répéter ce mot)
Sous ciel bleu
– Vitre
On est choyé comme
Des malades – c’est une
Longue traversée
Une – rouge traversée
Pendant des heures
Et des heures dans un
Voyage…
Au-dessus des glaces
– En morceaux
Petits morceaux
Blancs
Ces réalités qu’on peut
Pénétrer
– Là-bas –
Son protecteur
Et maintenant
Les terres
L’Amérique
Il parle avec une
Femme
Death is hard, life
Is much easier
Des montagnes, des
Lacs, des fleuves de
Sang –
Qui pissent le sang
Vert – le sang marron
C’est comme vrai
Il y a une évidence
Le lent ascenseur
Les fleuves, les bavures
Les cœurs
Les serpents, les ficelles
Le psy femelle
Les cœurs, les « fleurs »
Les taches
Ô flaque de sang –
Et le rat – et l’or
The rat
Dans le bateau tenu par
L’air
Les faces de singes
Qu’est-ce que c’est grand
L’Amérique, ça fait
Un moment qu’on la
Survole
Les nuages immobiles
Qu’est-ce qui est déjà dit
Sur ça
Zoo qui cumule
Evasive action
Tout le monde est arrivé
Une femme sans fesses
(À côté de moi)
Los Angeles, 20 août 08
Rétablir le miroir
« Effacement dans la main du vent »
Version Sylvia Plath de
« Je n’m’enfuis pas, je vole »
People of stars
Dans la mêlée de sable
Les visages attendris
À l’aéroport, il y a des messages
« Why are we waiting ? »
Et
« 2010, ça commence ce soir » (« L’Équipe »)
Et c’est vrai que c’est
Une longue journée
Talking nothing with you
Encore la ville, les petits
Pieds de la ville
Piece of art
Le spécialiste de hair
Transplantation est complè
Tement chauve. Robert M.
Bernstein
Le jardin londonien
La surface de la terre
London représentée par
Un ciel bleu sur mon
Portable
Monde de Londres
« You know where
You’ll be in 24 hours »
« Happiness an
International language »
Le hublot est brûlant
Il reconstitue son visage
Par petits bouts
Il peut se noyer dans la mer
Fictive
J’ai chier dans l’avion
Le paradoxe du
Truman Show : on arrive
À y croire alors qu’on ne
Peut pas penser 1 seconde
Que Fred Astaire (remplacer
Le nom) ne joue pas
Il est materné
Mais la voiture n’est
Pas fausse, elle, c’est une
Vraie voiture
Une voiture est-elle vraie ?
Et l’avion
Mais le signe des dents
Parfaites
Suis-je le père de
Cet enfant ?
Les émotions longues
Mon petit carnet
Pisser le sang
La banane de sang
L’incompréhension pleut
– Pleure
My hand does not
Shake ever
Problems and doubts
…Not problems but
Doubts
(Pour répéter ce mot)
Sous ciel bleu
– Vitre
On est choyé comme
Des malades – c’est une
Longue traversée
Une – rouge traversée
Pendant des heures
Et des heures dans un
Voyage…
Au-dessus des glaces
– En morceaux
Petits morceaux
Blancs
Ces réalités qu’on peut
Pénétrer
– Là-bas –
Son protecteur
Et maintenant
Les terres
L’Amérique
Il parle avec une
Femme
Death is hard, life
Is much easier
Des montagnes, des
Lacs, des fleuves de
Sang –
Qui pissent le sang
Vert – le sang marron
C’est comme vrai
Il y a une évidence
Le lent ascenseur
Les fleuves, les bavures
Les cœurs
Les serpents, les ficelles
Le psy femelle
Les cœurs, les « fleurs »
Les taches
Ô flaque de sang –
Et le rat – et l’or
The rat
Dans le bateau tenu par
L’air
Les faces de singes
Qu’est-ce que c’est grand
L’Amérique, ça fait
Un moment qu’on la
Survole
Les nuages immobiles
Qu’est-ce qui est déjà dit
Sur ça
Zoo qui cumule
Evasive action
Tout le monde est arrivé
Une femme sans fesses
(À côté de moi)
Los Angeles, 20 août 08
Labels: poésie yves-noël dispariteur