Thursday, June 30, 2011

Dans la salle (the place...)




























Philippe Tlokinski.

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« Toute collaboration est un mystère. »

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Jouer Dieu (panthéisme)

« On lit, dans les Rubaiyat, que l’histoire de l’univers est un spectacle que Dieu conçoit, représente et contemple ; cette spéculation, dont le nom technique est panthéisme, nous induirait à penser que l’Anglais a pu recréer le poète persan, parce que tous deux étaient essentiellement Dieu ou des visages momentanés de Dieu. »

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Toutes les protections d’été

A la gare Lyon Part-Dieu, j’admire les photos de Vincent dans « Marie-Claire ». J’admire son travail, son métier. Il voit ça comme un métier, il m’a expliqué. Moi qui le connais dans la vie, je suis estomaqué, en effet, de la transformation, la translation. Vincent est vivant, drôle, intelligent, brouillon, secret, dévasté, en équilibre, de bonne humeur, disponible, disponible à la vie, la vie telle qu’elle vient, telle qu’elle n’a pas de forme, pas de forme personnelle, mais telle qu’il suffit de s’y couler, s’y laisser couler, porté, que la société est faite pour faciliter la vie, la société, la civilisation, les milieux, que c’est l’été, mais que toutes les saisons sont bonnes, que la vie est brève, qu’il faut en profiter, c’est tout naturel, sans y penser, etc. – et, là, je le retrouve, dans « Marie-Claire » et, sur le papier glacé, c’est une idole hollywoodienne. Merveilleux Vincent. Merveilleux travailleur. Merveilleux métier. Aimer un acteur. Aimer.

Le train est plein de stars aujourd’hui, le train qui va à Marseille. Il y a une petite Emmanuelle Béart en face de moi avec sa maman. Trop jolie. Sa maman a des seins merveilleux dans lesquels la gamine fourrage comme en terrain conquis. Tous les enfants sont dans la séduction aujourd’hui. On est le 1er juillet et on va en vacances, y a de quoi être heureux ! (Un petit garçon aussi, un petit Vincent, m’a fait une œillade.)

Vincent et monsieur Huong. C’est une passion d’amour. Il en parlerait mieux que moi. Ça occupe sa vie, en ce moment. Il m’envoie un dialogue avec monsieur Huong : « – Toi fatigué ? – Oui. – Toi copine ? – …Oui. – Toi copine cette nuit ? – Oui. – Toi copine cette nuit combien de fois ? »

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