Wednesday, April 27, 2016

Que Phèdre explique enfin le trouble où je la vois (titre)

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E tre de nulle part et vouloir rentrer chez soi


« Une abolition de la demande : plus vous allez mal moins vous demandez d'aide, avec une sorte d'inversion de la demande : les individus racontent des choses sans rapport à la personne qui pourrait les écouter. Au psychiatre, ils demandent un logement ; et à l'assistant social, ils demandent une aide psychique. Les gens rompent avec les personnes dont ils sont les plus proches. C'est une errance. Celle d'un SDF qui va de ville en ville ou celle d'un PDG qui va d'Hilton en Hilton en abandonnant sa famille. Le lien social est rompu. »

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« Ne rien demander, ne rien dire. Rester dans la clarté du silence. »



« I need silence, and to be alone and to go out, and to save one hour to consider what has happened to my world, what death has done to my world. »

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E moticônes


Sorry, je n'écrirai pas sur Monumental, je n'écris pas en ce moment, je suis ds la musique. Pour vous un impeccable couvre-chef Yamamoto, pour moi un casque Marshall Monitor, une fabuloserie 😉 pour danser avec Iggy & les autres. Et puis les mots dont j'aurais eu besoin pour écrire vous ont déjà tous traversé : « apologie, confiance, paix, bonheur, incarnation sans enjeu, plaisir, entrer, participer, élu, je m'en fous partout »😄 Pendant Les Maîtres chanteurs le mois dernier une évidence m'avait accompagnée tt du long, c'est l'opéra votre next step, vous saurez si bien le faire vous comblerez le monde 🎪
D'ici là... be a « real wild one » or a « rebel rebel » & fuck la maladie 💣 (ce à quoi je m'emploie avec la mienne même s'il faut bien voir les allopatheux de temps en temps...)  Tendresses 😎

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I think


« And the poem, I think, is only your voice speaking. »

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« Il s’agit, à chaque instant, d’ouvrir le langage, peut-être même de s’ouvrir à un nouvel amour du langage : cela  s’appelle la littérature. »

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Carte Jocelyn Cottencin

W him


« Je voudrais partir comme le coucher de soleil »

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L e Secret


« Ton secret, pour te faire entendre,
C’est de laisser parler ton cœur »

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T he idea has come to me


« The idea has come to me that what I want now to do is to saturate every atom. I mean to eliminate all waste, deadness, superfluity: to give the moment whole; whatever it includes. Say that the moment is a combination of thought; sensation; the voice of the sea. Waste, deadness, come from the inclusion of things that don’t belong to the moment; this appalling narrative business of the realist: getting on from lunch to dinner: it is false, unreal, merely conventional. Why admit any thing to literature that is not poetry–by which I mean saturated? Is that not my grudge against novelists — that there select nothing? The poets succeeding by simplifying: pratically is left out. I want to put practically everything in; yet to saturate. »

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« Je me suis appuyée à la beauté du monde »

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L a Gente que pasa por la calle


Comme c’est long de pénétrer une culture… Si j’étais poète, je décrirais ce que je vois par la fenêtre. La ventana… La baie vitrée, la vitrine, le cristal. C’est au-dessus de la porte de l’hostal, à l’entresol on dirait en France, la porte cochère de l’auberge fait beaucoup de bruit toutes les quinze, vingt secondes. Ça donne sur la place. Il n’y a pas de rideau (ainsi l’a voulu le décorateur). Le cristal est sale. Mon lit donne sur ce cristal. Je vois tout le monde (ah, si j’étais poète…) et le monde entier peut me voir (si j’étais pute…) Je suis dans un dortoir de dix lits, mais le mien donne sur le cristal. Toute la nuit les lumières changent sur la place (changeante selon l’activité), les voitures de polices, les cars, les parkings, les taxis… A côté, le théâtre Calderon… Ce n’est pas le problème numéro un dormir dans la rue j’ai toujours rêvé, non, le problème, c’est cette porte qui claque qui fait que je ne m’endors pas facilement, je manque de sommeil, la porte ne se calme que vers une heure...

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J ’ignore


« J’ignore si Dieu est amour, mais ce serait déjà bien qu’il soit amitié. »

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