T out m'est prière
La bonne nouvelle : l'amour
et la mort
Savoir quel est l'ennemi
(et s'y tenir)
Il y avait cette phrase de
Cioran dans le livre que j'avais sorti du rayonnage (de la vitrine), lourd
livre pour la journée
Massacre du printemps
C'est une pièce à l'opposé
d'un massacre, justement. Ce qui est lourd et appuyé (l'idée du combat) doit être
léger et transparent. C'est bien entendu sur la douceur (mais encore faut-il
s'entendre) ; ce qui est séparé, il faut le mettre ensemble. La guerre, l'état
de guerre et de haine, ce sont les « horreurs économiques » (Rimbaud)
Il va falloir avancer de plus
en plus à découvert. Il y a un combat, des batailles et j'en suis le chef armé.
Labels: massacre bruxelles