Titre pour un spectacle :
Tchekhov, c’est jamais raté
Titre :
Les mots me manquent
Titre :
La Cerisaie Picard
Titre :
Baisez et n’en parlez plus
Titre pour un livre :
Le Ciel bleu pâle
Labels: titre
Titre pour un spectacle :
Tchekhov, c’est jamais raté
Titre :
Les mots me manquent
Titre :
La Cerisaie Picard
Titre :
Baisez et n’en parlez plus
Titre pour un livre :
Le Ciel bleu pâle
Labels: titre
posted by Marie-Noëlle Genod, le dispariteur at 1:56 PM 0 comments
Chers amis, je vous avais demandé vos adresses et puis je ne vous ai rien envoyé, et maintenant ce serait du réchauffé (c’était le texte que j’ai envoyé à tous les participants de C’est le silence qui répond et je voulais vous y associer). Mais comme j’adore cette photo (ci-jointe) ! Comme elle témoigne bien et témoignera d’une situation que nous avons vécue ! Je voudrais qu’elle soit celle d’un spectacle pour un temps futur où il y en aurait de nouveau, des spectacles, ce qui paraît actuellement tragiquement burlesque : on ne saura sans doute même plus dans un moment de quoi on pouvait bien faire spectacle, enfin, bon…
Labels: lausanne silence correspondance
posted by Marie-Noëlle Genod, le dispariteur at 1:33 PM 0 comments
« Pour moi, le conservatisme, c’est une définition qu’en donnait Michaël Oakeshott, c’est une disposition à chérir le présent : le conservateur est celui qui reconnaît les bienfaits de son époque et qui préfère, disait Oakeshott le familier à l’inconnu. »
Labels: cita
posted by Marie-Noëlle Genod, le dispariteur at 1:25 PM 0 comments
Du coup, chaton, je les ai relues, ces notes mystérieuses, mais il n'y a pas autre chose que ce que je t'ai dit. C'était le commencement d'un texte, en fait, mais je n'aurai pas le temps de l'écrire. Une belle phrase quand même : « Les maladresses étaient si visibles qu'elles ne les abîmaient pas… Ils parlaient tous d'autre chose et cet autre chose était, peut-être, une matière onirique. On pouvait voir par transparence un vide, un autre lien, une liberté… » Et j'ai recopié aussi la célèbre réplique : « Je suis comme la pierre sur la route. La pierre, rien ne l'empêche, c'est elle l'empêchement ». Mais de Tchekhov — ou avec Tchekhov — on peut parler à l'infini, tu sais... Vivement que les terrasses des cafés de Paris soient rouvertes pour qu'on puisse y échanger, toi et moi, notre lucidité et notre gai désespoir, vivement le plancher du printemps ! Prends soin de toi, de ta santé, de ce que tu manges, etc. Bisous
Labels: correspondance paris tchekhov
posted by Marie-Noëlle Genod, le dispariteur at 8:21 AM 0 comments
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