Monday, January 13, 2014

« Combien de fois ce n’est plus moi ! »


Le traducteur de Jonathan Caouette m’a dit que je ressemblais à Todd Rundgren et qu’il était bien meilleur musicien que Iggy Pop. On écoutera demain, ce soir il est tard, il faut faire dodo.
Comme Alice me disait que Valérie Trierweiler avait fait une tentative de suicide (« Ben oui : « un gros coup de blues »... ») et que je le répétais à Vanessa Van Durme, celle-ci m'a dit avec son délicieux accent flamand : « Mais non, c’est un lifting ! « un gros coup de blues », c’est un lifting et on ressort après quelques semaines et on dit : « Elle va mieux, ça se voit ».

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J ulie Gayet se protège des paparazzi







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L 'Aéroport des merveilles


La distribution idéale : rugbymen et travestis, ai-je pensé à l'aéroport de Toulouse après le match Toulouse-Saracens, les supporters pour la plupart simplement vêtus du T-shirt aux couleurs comme s'il n'était sortis de chez eux (l'Angleterre) que pour une après-midi ensoleillée (ce qui était le cas à Toulouse). Le match avait eu lieu à l'heure où moi aussi je jouais, pour un public d'un autre genre (malheureusement). Je devinais que le Stade Toulousain l'avait emporté parce que les supporters anglais — sublimes — étaient beaux et graves. Des garçons. Je télégraphiais la nouvelle à Jonathan.

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L e Fantôme



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M um



Ce soir, du beau monde chez Aurélie Charon ! Jonathan Caouette, pas moins ! et Vanessa Van Durme, pas moins ! et votre serviteur mais qui se la jouera discrète comme son maître Pierre Zaoui le lui a enseigné ds une précédente émission et parce que ces 2 là, Jonathan, Vanessa, l’impressionnent beaucoup, beaucoup ! Pourquoi ? Leur talent infini, c’est évident, mais aussi par le fait qu’ils parlent de leur mère, ce qui lui est complètement hors de portée, à YNG (et il le regrette). C’est une abnégation, une passion, une folie de parler de sa mère… Ma mère, c’est Marie-Thérèse Allier…

O rly



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P énétrables


Montaigne, par Liliane Giraudon et Hugues Quester

L a Louve


Je soutiens la candidature au festival Impatience de la Compagnie Louve de mon amie Christine Armanger pour le spectacle Pourpre que j’ai beaucoup aimé (et qui me reste en mémoire, qui plus est !) J’ai rencontré Christine lors d’un stage que j’ai donné à Pontempeyrat — le célèbre stage reconduit d’une année à l’autre, « Jouer Dieu » — et la surprise de son spectacle si fin, si… vous savez… pas une chose de trop, ce qui est le plus dur, la ligne sans accro, sans écart, « pas un mot plus haut que l’autre », disait Marguerite Duras quand elle parlait de littérature et c’est exactement ce que j’ai ressenti. Rien de scabreux et le désir pur, l’érotisme net. Rien de « fantasme » (ou alors un rien), la chair. Le réel. Dieu et son jardin magique. La possibilité. D’être heureux, d’être amoureux, d’être hétéro (j’écris ces lignes à l’heure où l’amour semble une souffrance même jusqu’au sommet de l’Etat…) Bref, s’il ne tenait qu’à moi, Pourpre aurait pignon sur rue, Christine Armanger a beaucoup, beaucoup de talent et une grande générosité, ce qui est sans doute la même chose... « Qu’est-ce que c’est que le talent ? disait la chanteuse Barbara, est-ce que ce n’est pas entrer en scène et sourire ? » Oui, elle l'a !

Yves-Noël Genod

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« L a seule façon d'être heureux c'est d'aimer souffrir »



J’enlève le post précédent*, c’est passionnant, mais il n’y a qu’à lire « Le Monde », par ex, on en apprend toutes les heures. Ce que je trouve dingue, c’est l’hospitalisation. Pauvre Valérie ! Elle aurait été la seule à Paris à ne pas savoir ? Il paraît que tout le monde le savait — et à voir la  vidéo du « Grand Journal » d’il y a un mois où Stéphane Guillon dit que Hollande venait sur le tournage, qu’il aime beaucoup le film, beaucoup moins sa femme, ce qui fait rire Julie Gayet, on a du mal à comprendre pourquoi celle-ci a porté plainte. « Valérie a pris un TGV dans le buffet, raconte une de ses amies au « Parisien ». Elle était complètement sonnée. Bien sûr, elle n'ignorait rien des rumeurs qui couraient dans Paris depuis des semaines. Elle a simplement voulu croire qu'elles étaient fausses. »

* sur FB

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