1er avril

« Naviguer, c’est précis, oh ! mais, vivre, c’est pas précis, oh ! »

Tapisserie (2)

Le Feu sur le plateau

« Quand vous faites de la mise en scène, vous avez besoin d’être amoureux. Ça m’est même arrivé d’être amoureux d’un jeune homme, sans aller plus loin, mais je savais que c’était lui qui allait me faire voir où le feu pouvait prendre sur le plateau. Car ce qui fait la qualité d’un spectacle, c’est le feu qu’on apporte sur les planches. »

Débuts de texte

En général, j’aime la peinture.

Je pouvais vivre comme un saint. La phrase m’était venue. Ça allait venir de la nourriture. J’avais mangé mon dernier mille-feuilles.

Les geais sont capables de « théorie de l’esprit » (projeter sur l’autre ses propres expériences et ses propres intentions).

Le bonheur se construit-il ?

La Maison de Romain

Salut, Splendeur, j’ai croisé Laurent, hier, à Vanves et — tu sais que je cherche du travail — on a reparlé de ce que je pourrais faire à la biennale de Lyon à l’automne 2014 et j’ai parlé de notre projet Avoid the clown, ça a eu l’air de lui plaire et de l’amuser. Ce serait proche de la thématique qu’il veut donner à cette édition : qu’est devenue la performance ? Ce serait chouette, non ? Je t’embrasse

Paris, l’hiver

Jean-Marc Layer

Ton ami du PEROU à raison.

L'espace urbain est primordial et il est révélateur de l'attitude de nos élus à notre égard (exclus et inclus compris) et du mépris pour les plus pauvres. 

J'ai travaillé pendant quelque temps, il y a une quinzaine d'année, avec un groupe qui s'appelait Ici Même et qui posait le même genre de problématique. 

L'Etat nous montre clairement qu'avant d'être à nous, l'espace publique et d'abord à lui. 

Bonne journée mec et, oui, il a raison ton pote !

JM

Post Tenebras Lux