M oni
Cher Yves-Noël, je ne peux pas être là, (retour à Paris en mars), mais je fais suivre...
Je me souviens de 1er Avril, de ce temps suspendu par la beauté la plus vivante jamais vécue avec cette intensité bombardée dans tous les murs, les angles, les espaces du Théâtre des Bouffes du Nord. Et vu et revu !
De ce travail magique autour du Baudelaire, au Festival d'Avignon, dur, élégant, précieux, juste, musical, diaboliquement fidèle aux mots.
Et cet autre moment avec Baudelaire au théâtre du Rond-Point, incroyablement et si réellement poétique, spectral.
Et encore cette folie d'inventions avec de très jeunes talents à la Ménagerie de verre, et la découverte du génial Aïdan Büchi avec lequel naîtra un Hamlet magistral et inoubliable au théâtre de Vanves.
Merci, cher Yves-Noël, pour tout cela et pour toutes ces rencontres si essentielles que tu sais créer, n'importe où, avec n'importe qui, sans cesse, dans le texte, pour le texte, avec lui.
Tenons bon,
Moni
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