P aroles du Christ

Une amie a posté sur Facebook un carton affirmant : « Noël sert à rappeler à ceux qui sont seuls qu’ils sont seuls. A ceux qui n’ont pas d’argent qu’ils n’ont pas d’argent. Et à ceux qui ont une famille de merde qu’ils ont une famille de merde ». Et j’ai commenté : 

« C'est très vrai et c'est pour ça que, personnellement, j’aime Noël : parce que ça me rappelle que je suis seul, sans argent et avec une famille de merde et qu'au fond c'est la situation la plus enviable pour entendre les paroles du Christ ».

B oris

J'ai vu hier ce très beau film à la Cinémathèque. La manière dont Robert de Niro drague Ingrid Boulting m'a rappelé la manière dont Boris (le chat) draguait — comme j'avais pu l'observer pendant des heures dans cette boîte — l'ancien Privilège, sous le Palace — où, la vieille, il m'avait amené. D'abord une fatale peut-être Italienne dans une robe rouge moulante (sans culotte, je le lui ai fait réaliser), une solitaire, remarquée par tous, mais laissée pour compte (sauf par Boris) ; ensuite une Chilienne plus allante, entourée d'amies, et que pourtant, s'est-il désolé le lendemain — pauvre vie des grands fauves — il n'avait pas non plus ramonée, heu... ramenée (oh, le vilain correcteur !)