Thursday, October 28, 2010

C'était Versailles








Photos d'Agathe Poupeney. Dinozord, Papy Ebotani, Marlène Saldana et Thomas Scimeca dans L'Echange (comme la pièce de Paul Claudel). (Cliquer sur le titre.)

Labels:

« Car mon intelligence devait être une, et peut-être même n’en existe-t-il qu’une seule dont tout le monde est colocataire, une intelligence sur laquelle, chacun, du fond de son corps particulier, porte ses regards, comme au théâtre où si chacun à sa place, en revanche, il n’y a qu’une seule scène. »

Labels:

Je suis nu pour personne


Photo Sylvain Couzinet-Jacques. Thomas Gonzalez dans La Mort d'Ivan Ilitch.

Labels:

« Voile
d’un petit bateau
dont la cargaison
est de quelques
syllabes »

Labels:

« Tu as perdu l’infini passé, que t’importe de perdre l’infini futur ? »

Labels:

La Nuit secouée par la portière

Cette nuit, je me réveille pour noter un titre. La Nuit secouée par la portière. Que je rectifie en mettant : (fenêtre). Mais c’est le premier titre qui est le bon. Comme toujours le mot a la suzeraineté sur la sensation (le mot inconscient, la sensation faussée par la conscience, la rectification). Ce titre, j’aimerais en faire un spectacle – mais on n’me propose plus rien, en ce moment, et, m’expliquer, je le fais, je vais le faire, mais tout ça est ennuyeux. Ils ont de tels problèmes, les programmateurs. En programmer un de plus, un de moins. Leur métier les ennuie. Tout est si lourd, si pénible. La vie en société. Avec toutes ces inventions distrayantes. Et le souci de la foule. La seule santé : les politiques. Ils sont au cœur du système. Mais à quel prix ! Et les industriels, les banquiers. Loin de La Nuit secouée par la portière (Le Désir attrapé sur le toit.) Et les savants, s’amusent-ils ? Reste à lire des poèmes simples, les poèmes de tout le monde, reste à voir les spectacles de tout le monde…
« Pascal pensait que si l’univers est infini, l’univers doit être une sphère dont la circonférence est partout et le centre nulle part. »

Labels: