Tuesday, December 20, 2011

L'Idole


Nicolas Maury dans – je peux / – oui, photo Marc Domage.
Et aussi dans Let My People Go, un film de Mikael Buch très, très réussi, sortie le 28 décembre.

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César Vayssié




Deux films de César Vayssié sont en ligne !

Il s'agit de La Mort d'Ivan Ilitch qui sera repris au théâtre de la Bastille, à Paris, les 7, 8 et 12 février (avant-première le 6).

http://gallery.me.com/byche#101851

Et de – je peux / – oui (versant pratique) qui vient d'être créé au théâtre de la Cité internationale.

http://vimeo.com/33977233

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Coucher et laisser coucher




Oui, j'ai bien reçu et commencé à lire. J'y comprends rien, mais après un premier mouvement de rejet, je me suis dit quand même que c'est pas ça (n'y rien comprendre) qui devrait m'empêcher de les lire, tes cochonneries ! C'est quand exactement, c'est décidé ? Tu m'as peut-être dit... Que je note... Oui, je veux bien encore quelques textes... Mais ton meilleur, hein, déjà que je suis con, alors, ne m'envoie pas tes fonds de tiroirs... Que du lourd et du publié à Hollywood, nom de nom, je hais l'avant-garde, je hais l'underground, je veux de la fourrure ! (Je sais pas pourquoi je dis ça : parce que j'ai froid.)
Et si on couchait ensemble ? Enfin, je veux dire, avec une copine à toi, à trois (pour mieux se pénétrer de notre collaboration...)

Yvno

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C’est un film d’été tourné en plein hiver




« C’est par le manque qu’on dit les choses. Le manque à vivre, le manque à voir. C’est par le manque de lumière qu’on dit la lumière et par le manque à vivre qu’on dit la vie, le manque du désir qu’on dit l’désir, le manque de l’amour qu’on dit l’amour. J’crois qu’c’est une règle absolue. »

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L’Emergence de la conscience




« La différence entre le moment où on se réveille et le moment où on n’est pas encore réveillé, où on dort, ç’a à voir avec qqch comme la conscience soudaine, instantanée, du fait de sentir. Lorsqu’on s’aperçoit que l’on est en train de dormir, c’est qu’on est en train de se réveiller. C’est ça, le réveil, le fait de percevoir que l’on perçoit. Je crois que c’est vrai au sens premier, c’est ça qu’on fait tous les matins lorsqu’on se réveille, mais c’est aussi vrai toutes les fois où on se dit qu’on a compris qqch, on est devenu conscient d’une sorte d’expérience, de sensation, de perception qui manquait jusque là, c’est que on perçoit qu’on ne percevait pas qqch. Et, à nouveau, je dirais que pour percevoir que l’on ne perçoit pas qqch, il faut qu’il y ait une perception qui ait pour objet le fait même de sentir, le pur fait de percevoir. »

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Le Théâtre




« Toute perception est présente. Il n’y a pas de perception au passé ni au futur. Au moment où l’on perçoit qqch, c’est que la perception, non pas la chose, mais la perception est présente. »

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Famille au jardin




Marlène Saldana, Bram Droulers, Nicolas Maury, Sigrid Bouaziz et Marcus Vigneron-Coudray dans – je peux / – oui, versant pratique.

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Z.




Yves-Noël

Je suis heureux, tout ça, comment les choses arrivent, que c'est possible, que ça existe effectivement, ça, les espaces de possibles, ou bien, l'espace des possibles, je ne sais pas bien.
Simplicité. Bonheur.
C'est tout, je suis plein de tout, et de rien, content!
Je te suis reconnaissant, je crois que tu comprendras ce que je veux dire, vraiment.
Je suis à Strasbourg, froid sibérien, atroce, tout blanc comme la Ménagerie, mais pas pareil.
Je t'embrasse ! Et bonnes fêtes, tout ça.

Z.






Oui, je comprends très bien ce que tu dis (puisque tu l'as montré absolument (et simplement) sur le plateau). C'est toi, Wagner, Thomas qui donnez le ton de ce nouveau projet (dont je ne savais rien avant de vous voir à l'œuvre) et je m'en réjouis. Il faut que je trouve des gens en plus pour vous compléter et continuer dans ce sens qui apparaît. Les filles (Jeanne et Joana qui est finalement arrivée dimanche) ont un peu peur (beauté, mais tendance à s'accrocher aux murs ou au sol), faudra que je passe du temps avec elles... Avec Dominique aussi (qui a moins peur)... Si tu penses à des gens (comme ton ami black), fais m'en part...

Bises

Yvno

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Sigrid Bouaziz, Marlène Saldana et Bram Droulers dans – je peux / – oui, versant pratique.

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Le Voyage




Donc, chéri (ou chaton, comme tu veux...), j'arrive le 27 à 06:23 à Juarez International, tu me diras comment faire pour te rejoindre ? Est-ce qu'on descendra toujours sur une plage ou est-ce qu'on reste à Mexico DF (ou peut-être moi, vous serez peut-être déjà partis), tu m'expliques un peu le programme (s'il y en a un) ? Je me réjouis, bien sûr ! (Je repars le 11 janvier à 19:05.)




Chic ! Bon, alors, le 27, c'est très bien, tu auras le temps de récupérer si jetlag il y a. On part le lendemain à la plage, on sera douze, dans une réserve naturelle magnifique. Il y aura à boire et à manger et aussi des animaux sauvages et genre 30°c. On y restera jusqu'au 3 janvier, et de là, retour à Mexico DF ou bien si tu veux faire un tour de pays ou je sais pas quoi, tu peux. Pour l'arrivée, tu prends un taxi à l'aéroport, un taxi prépayé. Ca côute moins de 200 pesos (que tu auras pu retirer avant à un guichet. Prends pas trop trop, genre maximum 3000 pesos pour commencer). Le taxi, tu lui demanderas d'aller à La Condesa, c'est notre quartier. Tu lui diras qu'il te dépose au croisement Juan de la Barrera con calle Mazatlan. L'adresse exacte c'est « édificios Condesa », Mazatlan 5. Ce sont des appartements dans une résidence. L'immeuble c'est Q2, et là, tu sonnes à Q2. Il y a un gardien pour si jamais tu trouves pas, il est très sympa. Voilà, c'est safe, pas de problème. Je te donne aussi le numéro de la maison au cas où : 55 52 11 42 48 depuis le Mexique. N'hésites pas si tu as la moindre question. Bisous bisous

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