L’actrice lectrice
(Pour Éric Didry)
Les films pleins de défauts
Votre combinaison, le saviez-vous ? dépasse
Des jolies gueules, ils dansent et ils chantent
J’ai oublié de vivre
La nuit quand revient la nuit
J’voudrais ouvrir une parenthèse avec des guillemets
Toute la musique que j’aime
L’amour, c’est super
Le temps qui passe, le monde l’attraper
Les cheveux noirs avec la perruque rose
On voit tout
Le monde est tout
Styliser sa solitude
Les yeux qui brillent ou qui plissent, un sourire au lieu d’une moue
Il y a des tentures rouges, des tissus moirés, des canapés, une profusion de plantes vertes
Pierre, ciment, cailloux, ciseaux, feuilles, choux, genoux
Et parler avec Patrick Sébastien
Des larmes scintillent au vent
Faïence, défaillance
Un ex-amour n’a pas de chance
Les fesses et les seins du même côté
La purée, l’amour
Pour coincer une roue de vélo, la paire de fesses d’une statue d’amour
« Saute, tu vas voir Réglisse » ou : « Saute, tu vas voir, Réglisse »
Est-ce que j’pleure ?
C’est hyper beau que chaque nuit une autre personne faire ce solo
Top, bottom ou versatile
La beauté, la beauté féminine (je suis désolé…)
Y a beaucoup de p’tites vieilles, en fait, qui sont là avec leur douleur
Le vieux chat et son prophète
« Ah… », dit Hélèna et, c’est vrai, c’est un titre
La poésie est grossière et partout
Elle est laide, c’est effrayant
C’est effrayant comme le monde est poétique et ça ne va pas s’arranger (avec la récession)
Violence
Je voudrais la prose, je voudrais la bourgeoisie
Je voudrais le grand appartement de Valérie Mréjen
Des gris noirs
Les plaintes d’une poupée
La chanson noire
La violence de faire apparaître
Un professeur imaginaire vient t’engueuler dans ta tête
Le jeu intérieur du tennis
La folie danse
Une pièce invisible
Rassemblons nos forces et nos tendresses
Nous finirons bien par nous aimer un tout petit peu
Nous rallumerons tous les soleils, toutes les étoiles du ciel
Toi, t’es bon public
Une leçon de français
Lectrice américaine
L’actrice lectrice
Au cœur de sa bibliothèque, on trouve Salinger, Dostoïevski, les sœurs Brontë ou E. E. Cummings
Michelle ne s’aime pas beaucoup
Je suis triste pour elle et je m’inquiète de son avenir
Et la voici à Paris
La marche futile
Private life : deux femmes
It has ceased to be
Dans la salle, assises sagement
L’heure passe par la gentillesse
Le bonheur délicieux, délicat, décalé
The Beatles free, going off piste
12 - 17 nov. 08
Les films pleins de défauts
Votre combinaison, le saviez-vous ? dépasse
Des jolies gueules, ils dansent et ils chantent
J’ai oublié de vivre
La nuit quand revient la nuit
J’voudrais ouvrir une parenthèse avec des guillemets
Toute la musique que j’aime
L’amour, c’est super
Le temps qui passe, le monde l’attraper
Les cheveux noirs avec la perruque rose
On voit tout
Le monde est tout
Styliser sa solitude
Les yeux qui brillent ou qui plissent, un sourire au lieu d’une moue
Il y a des tentures rouges, des tissus moirés, des canapés, une profusion de plantes vertes
Pierre, ciment, cailloux, ciseaux, feuilles, choux, genoux
Et parler avec Patrick Sébastien
Des larmes scintillent au vent
Faïence, défaillance
Un ex-amour n’a pas de chance
Les fesses et les seins du même côté
La purée, l’amour
Pour coincer une roue de vélo, la paire de fesses d’une statue d’amour
« Saute, tu vas voir Réglisse » ou : « Saute, tu vas voir, Réglisse »
Est-ce que j’pleure ?
C’est hyper beau que chaque nuit une autre personne faire ce solo
Top, bottom ou versatile
La beauté, la beauté féminine (je suis désolé…)
Y a beaucoup de p’tites vieilles, en fait, qui sont là avec leur douleur
Le vieux chat et son prophète
« Ah… », dit Hélèna et, c’est vrai, c’est un titre
La poésie est grossière et partout
Elle est laide, c’est effrayant
C’est effrayant comme le monde est poétique et ça ne va pas s’arranger (avec la récession)
Violence
Je voudrais la prose, je voudrais la bourgeoisie
Je voudrais le grand appartement de Valérie Mréjen
Des gris noirs
Les plaintes d’une poupée
La chanson noire
La violence de faire apparaître
Un professeur imaginaire vient t’engueuler dans ta tête
Le jeu intérieur du tennis
La folie danse
Une pièce invisible
Rassemblons nos forces et nos tendresses
Nous finirons bien par nous aimer un tout petit peu
Nous rallumerons tous les soleils, toutes les étoiles du ciel
Toi, t’es bon public
Une leçon de français
Lectrice américaine
L’actrice lectrice
Au cœur de sa bibliothèque, on trouve Salinger, Dostoïevski, les sœurs Brontë ou E. E. Cummings
Michelle ne s’aime pas beaucoup
Je suis triste pour elle et je m’inquiète de son avenir
Et la voici à Paris
La marche futile
Private life : deux femmes
It has ceased to be
Dans la salle, assises sagement
L’heure passe par la gentillesse
Le bonheur délicieux, délicat, décalé
The Beatles free, going off piste
12 - 17 nov. 08
Labels: poésie yves-noël dispariteur