A mirror world
A mirror world
So polyglot, so diverse and so (…).
It’s like going to another planet. It may affect me in some other ways. Combinatorial. Mixing things.
What they can’t really stand is being alone. For a lot of people. J’ai dû m’entraîner à être seul. C’est une torture. Disons… Enfin… j’avais des prédispositions, n’est-ce pas ? (C’est un fait.) Mais encore faut-il retourner dans ces régions du monde où vous avez des prédispositions !
Régions affreuses. Calcinées. Un mot entraîne l’autre – mais ce ne sont pas vos mots, ce sont les mots de la solitude. From an unseen source.
Space travel. Creative field. Une compétition d’imagination.
« Montagne » et « or », « montagne d’or », c’est facile. C’est une compétition. Un autre exemple me vient à l’esprit. « Lait noir ». (Très connu.)
J’aime qu’Hélèna, mon amie écrive. Je veux dire comme métier. C’est chouette de gagner sa vie en puttant des mots sur la page. L’autre jour nous sommes allés à une fête des auteurs POL, enfin une fête chez Paul (ou POL) où tous les auteurs étaient venus bien sûr. Ça fait du monde. Tous un peu vieux maintenant, forcément (le temps passe). Des gentils messieurs, des gentilles dames. Dans un appartement si parisien, pas très grand pour un tel prestige. C’est beau de lire, savoir lire. Paul Otchakovsky-Laurens offrait du champagne, une bouteille à la main, comme un serveur, une occupation, m’en a offert aussi, moi qui attendait dans un coin.
Your short-term memory last for three minutes.
Les Russes sont venus dans la plaine.
Et la couleur turquoise ?
L’horreur américaine.
Un lobster d’argent. Un lobster de crystal.
On cherche un lieu.
La maison de verre.
Il y a trop de lumière.
Rivières américaines.
Les possibilités arrachées.
L’université est volatile.
Tears of real grief.
Les oies sont vivantes.
22, 23, 24, 25 septembre 2008.
So polyglot, so diverse and so (…).
It’s like going to another planet. It may affect me in some other ways. Combinatorial. Mixing things.
What they can’t really stand is being alone. For a lot of people. J’ai dû m’entraîner à être seul. C’est une torture. Disons… Enfin… j’avais des prédispositions, n’est-ce pas ? (C’est un fait.) Mais encore faut-il retourner dans ces régions du monde où vous avez des prédispositions !
Régions affreuses. Calcinées. Un mot entraîne l’autre – mais ce ne sont pas vos mots, ce sont les mots de la solitude. From an unseen source.
Space travel. Creative field. Une compétition d’imagination.
« Montagne » et « or », « montagne d’or », c’est facile. C’est une compétition. Un autre exemple me vient à l’esprit. « Lait noir ». (Très connu.)
J’aime qu’Hélèna, mon amie écrive. Je veux dire comme métier. C’est chouette de gagner sa vie en puttant des mots sur la page. L’autre jour nous sommes allés à une fête des auteurs POL, enfin une fête chez Paul (ou POL) où tous les auteurs étaient venus bien sûr. Ça fait du monde. Tous un peu vieux maintenant, forcément (le temps passe). Des gentils messieurs, des gentilles dames. Dans un appartement si parisien, pas très grand pour un tel prestige. C’est beau de lire, savoir lire. Paul Otchakovsky-Laurens offrait du champagne, une bouteille à la main, comme un serveur, une occupation, m’en a offert aussi, moi qui attendait dans un coin.
Your short-term memory last for three minutes.
Les Russes sont venus dans la plaine.
Et la couleur turquoise ?
L’horreur américaine.
Un lobster d’argent. Un lobster de crystal.
On cherche un lieu.
La maison de verre.
Il y a trop de lumière.
Rivières américaines.
Les possibilités arrachées.
L’université est volatile.
Tears of real grief.
Les oies sont vivantes.
22, 23, 24, 25 septembre 2008.