Adélaïde m’a fait un beau cadeau. Elle avait pensé m’apporter, pour que j’apprenne l’italien, une édition en bilingue des poèmes de jeunesse de Pasolini. Je me demandais comment j’allais la retrouver, mais elle était là, tout à coup, juste devant moi à l’entrée du tapis roulant. Je regardais son cul de voyageuse tout le long du tapis roulant avant de l’aborder. Ainsi l’amour précède l’amitié.
« in mute ore di gaiezza, in muti
istanti di terrore... »
« En de muettes heures de gaieté, en de muets
instants de terreur... »
« in mute ore di gaiezza, in muti
istanti di terrore... »
« En de muettes heures de gaieté, en de muets
instants de terreur... »
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