Tiens, pour ce soir, voilà un ensemble de phrases sur lesquelles je tombe par hasard dans mes notes, la première est de Duras, après je ne sais plus, mais c’est toujours la même histoire, tu le vois, toujours le même mystère et plus ce mystère est mystérieux, c’est-à-dire, pour moi, ne ressemble pas à ce que je te dis de faire, mais augmente ma perception (mon intelligence, ma sauvagerie, ma lucidité, ma solitude), plus c’est beau. D’ailleurs, dans un des plus beaux moments d'hier soir (je ne sais plus lequel), j’ai pensé que c’était « incroyablement personnel, c’est ce que c’est et c’est ce qu’il faut que ce soit », et c’est ce que Duras dit et c’est ce que tu dois dire aussi : une chose incroyablement personnelle de toi (c’est ce que Proust dit aussi) : bref, liberté et génie, c’est ce que tu es, c’est ce que tu es libre d’être : géniale et personnelle. Je t’embrasse
« le corps qui lit et qui veut connaître l’histoire depuis les origines, et à chaque lecture ignorer toujours plus avant ce qu’il ignore déjà. »
« Je ne sais rien de moi à l’avance. Mes aventures arrivent quand je les raconte. »
« Le pardon est un luxe, il devrait être un mode de vie. »
« Le problème, c’est notre esprit. Nos esprits luttent, mais nos âmes et nos corps sont en parfaite harmonie. »
« Pourquoi est-il aussi difficile d’être présent face à ce qui arrive ? »