L es Singes, les dieux
J’ai pris un anti-inflammatoire et un anti-douleur et je suis sorti au théâtre de la Bastille voir un programme de Laurent Chétouane. J’ai déjà parlé beaucoup, souvent, de Laurent Chétouane (mon idole), je ne vais pas en rajouter. Attention, ça ne plaît pas à tout le monde ! j’y ai souvent envoyé des acteurs — et pas des moindre, Felix, Balibar... — qui ont détesté. Moi, Laurent est mon gourou, c’est mon médicament, mon espoir (si le mot « espoir » a un sens). Ce que l’on voit dans ses pièces, c’est l’humanité au sens animal et non pas divin du mot. Mais c’est exactement pareil, les singes, les dieux... L'humanité sans ego. Demain (mardi), j’ai des invites pour voir Thomas Gonzalez à Malakoff (Yvonne, princesse de Bourgogne). Je ne suis pas sûr d’y aller sauf si quelqu’un de costaud capable de me ramasser si je tombe m’accompagne (Jhon Fou, par ex) ou une femme costaude, ça irait bien aussi.
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