– Salut, Yves-No, je pense à vous, j'espère que ça se passe bien
au Rond-Point...
– Ah oui, tu me manques un peu, tu sais (tu l'aurais tellement
bien fait...)
– Ben, oui, si tu crois que j'ai pas suffisamment les boules
comme ça.
Pardon pour les fautes d'orthographe.
Mouais.
Surtout que tu rempiles avec Valérie et,
moi, je suis complètement a.mou.reux de Valérie (toi, je n'en parle pas, mais
cela va de soi, hein ?)
– Ben, oui, t'aurais bien fait l'amoureux de VD (je
te comprends). Elle a eu de la
chance, elle, sa production Vassiliev s'est effondrée, trois jours après, on
faisait une radio ensemble, elle me l'a dit, je lui ai dit : « Ah,
ben, viens ! » Mais j'aimerais que ce soit toujours ainsi (même si la
chance des uns fait peut-être le malheur des autres...)
– Oui, en l'occurrence
le bonheur des uns (programmation d'un spectacle dans lequel je suis) a fait
mon malheur, enfin, kind of...
Bon, je vais venir vous voir de toute façon.
Je t'embrasse, je t'aime et bises à tutti !
–
T'es libre à partir de quand (pour le cas où le premier spectacle ne marche
pas, j'en fais un autre) ?
– Pfff, tu sais, c'est compliqué, je pense,
quand même. Je suis libre à partir du 11 (juin). Ben, ouais, je sais...
–
Grandiose ! il en reste un paquet ! (jusqu'au 24...)
– Oui, mais tu veux que je
m'incruste comme ça ?
Ouais ?!
– On va voir comment ça évolue. Le
problème de ce spectacle, c'est qu'il est bon – et tout fait (un peu comme les
auditions de la Ménagerie, cela dit) – la première fois – et que ça se perd
(ou risque de) ensuite. Donc peut-être du renouvellement... J'y pense... On
s'en reparlera...
– Je comprends complètement.
– I know...
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