Thursday, October 24, 2013

J e suis amoureux de Marion Corrales

M es amours

    
« Yet there are moments when the walls of the mind grow thin; when nothing is unabsorbed, and I could fancy that we might blow so vast a bubble that the sun might set and rise in it and we might take the blue of midday and the black of midnight and be cast off and escape from here and now. »

Labels:

L e Silence CQFD


« When you are silent you are again beautiful. »

« We are only lightly covered with buttoned cloth; and beneath these pavements are shells, bones and silence. »

Labels:

Q uelques citations que je répéterai demain aux acteurs du stage


« On ne communique aux autres qu'une orientation vers le secret sans jamais pouvoir dire objectivement le secret. Le secret n'a jamais une totale objectivité. » 



«  Des oiseaux que l’on entend chanter à l’extérieur alors qu’on est sur scène donnent une définition exacte du théâtre. »



«  Etre acteur, ce n’est pas aimer apparaître. Au contraire, c’est énormément aimer disparaître. » 

Labels:

L es Privilèges


Je voulais dire : nous échangeons quelques mots en temps réel (si l'expression a un sens) en direct, vous et moi, devant un clavier…
Moi, je souris…

Beaucoup d'amis/es regrettent de n'avoir pas été là quand vous étiez chez moi…
Vous avez l'art de faire sentir aux gens qu'ils sont privilégiés.

Sincèrement, ce moment hors du temps, du bruit et de la fureur… fut un très beau moment….
M.



Ah, c'est joli, cette phrase, « Vous avez l'art de faire sentir aux gens qu'ils sont privilégiés ». C'est ce que j'essaie, oui, avec le public comme avec les interprètes. C'est ce que je vais essayer de faire avec cette trentaine d'acteurs (surtout actrices) de ce stage qui s'achève : leur faire comprendre la joie de vivre ! (ils ont si peur, les acteurs...)

Bonne journée, 


Yves-Noël

Labels:

2 citations plus une pour les bâtisseurs du stage


« … je bâtirais mon livre, je n’ose pas dire ambitieusement comme une cathédrale, mais tout simplement comme une robe. »


« de sauter dans
les bras multipliés du fleuve »



(de mémoire) « ... et c'est de la littérature : pas un mot plus haut que l'autre. »

Labels: