Chanson

Toujours je cherche l’ouverture dans mes journées ennuyeuses, toujours la respiration m’inquiète de cette vie curieusement présente, dans cette vie frappée de haine, de mépris et de violence, de dédain, cette vie de tous les péchés... Cette vie  qui n’est pas la mienne. Je cherche l’ouverture. Et je la trouve... Voyez la vie. Voyez la ville. On m’y voit. Par hasard, par ici, on m’y voit... Toujours je cherche l’ouverture dans mes journées ennuyeuses...

Je faisais comme si j’étais mort, je faisais comme si.

Griffé

D'où tient-il l'information ? (il n'était pas né)

Plaisir partagé, Yves-Noël. 

Toutefois tu m'as déçu. Si tu m'avais lancé une rose, peut-être aurais-je pu la planter et en faire pousser d'autres à donner à tout le public. Sais-tu que je suis né le même jour que David Bowie hahaha ? A bientôt,

Simon Espalieu

Where's that guy ?

Une des raisons

« Tous les portraits sont difficiles pour moi, mais un nu présente des difficultés d’un autre ordre. Une personne nue, en effet, n’a rien à cacher ; en un sens, elle n’est plus dans un personnage. Tout le monde n’est pas disposé à avoir cette honnêteté vis-à-vis de soi-même. Cela signifie que je dois moi-même être honnête pour représenter l’honnêteté de mon modèle. C’est une question de responsabilité. Je ne cherche pas à faire de la philosophie ; je suis plutôt un réaliste. J’essaie seulement de voir et de comprendre les personnes qui font partie de ma vie. Je pense à l’ensemble de mon œuvre comme à un grand portrait de groupe. »

Amour de la beauté

J'aurais fait de toi une star, si tu avais voulu. Je t'aurais enduit de miel et les fans t'auraient léché...

Poème en pensant à Michel Houellebecq, Pier Paolo Pasolini (et pour finir à Thibault Lac)

Il lisait Citadelle, de Saint-Exupéry

Il m’a tutoyé parce que je regardais sa chair avec tendresse, mais c’était tout

Dans l’avion, les gens, à l’arrivée, n’avaient plus l’air de victimes apeurées (qu’ils avaient au départ)

Ainsi le tee-shirt s’est soulevé quand il a voulu descendre sa valise

Et il m’a dit : « C’est le tien ? » parce qu’il croyait que je le regardais parce qu’il touchait un vêtement qui aurait pu être le mien






« Saint-Exupéry désignait lui-même Citadelle comme son œuvre posthume. Ébauché dès 1936, le texte est élaboré parallèlement aux derniers livres publiés de son vivant : Terre des hommes, Pilote de guerre, Le Petit Prince. Rassemblés dans une valise, les feuillets écrits sur plusieurs années forment un recueil de réflexions sur la condition de l’homme et son lien à Dieu. »

Soir

« Sei un bambino cattivo... Mi prendi e mi porti via »

Monsieur craint beaucoup le parfum des princesses...

C'était inoubliablement adorable que tu aies passé 2 heures avec moi comme ça. J'espère que ta journée n'en a pas été trop décalée... Dis-moi encore, pour te le rappeler, si tu retrouves l'adresse exacte de l'antiquaire au bel hôtel d'Avignon...

Bisou,

Yves-Noël

Souvenirs d'un autre monde (mais inédits), lumière d'hiver

Photos César Vayssié. — je peux / — oui, au théâtre de la Cité internationale en décembre 2011.

Paul, 21 ans

J’ai été très méchant avec toi que j’adore, hier soir, ça m’horrifie (juste te dire que j’en suis conscient). Je comprendrais très bien que tu me bannisses à vie (de tes fols amusements). Paul avait l’air fair-play, j’espère qu’il l’a été réellement, devant les horreurs que je débitais en feu d’artifice (surtout le bouquet final !) Jusqu’où peut vous mener la jalousie et l’appât du gain... Greedy, greedy, j’ai été. Sorry, sorry (mais Paul est trop mignon, encore plus que toi, papa...)

Le Cadeau de la boîte

(...) Sono a casa



Oui, mais si tu me parles italien, je vais me branler toute la journée et ce soir y aura plus rien...
Car j'imagine que tu vas pas quand même coucher à Disney ? Si ?



Hélas oui... j'ai honte, mais on va dormir ici... C'était inclu dans le cadeau de la boîte. Comment rater cette occasion ?
Je vais sur le tronc d'Indiana Jones, là... Evviva i bambiniii



Salaud ! Bon, je me branle, tant pis...

Le nouveau Jacques Brel (2)

Leçon n° 24.

Cherche un administrateur

« Les magistrat, les médecins, les administrateurs, les gens du monde, ne sont pas seuls incompétents en matière de poésie. »

Le nouveau Jacques Brel

Formidable.

Fort minable.

Que j'aime les hommes ! que j'aime les hommes bourrés ! que j'aime Bruxelles, la belle ! que j'aime la pluie-amour avec les caches dans les villes...

Un spectacle pour plus tard

Tu as aimé ?

Le spectacle ? Pas spécialement. Disons que je ne saurais pas trop de quoi il s'agit. Mais j'ai pas lu le livre encore (y a un livre à lire, en plus, qui forme la troisième partie de la pièce). C'est en très basse intensité et avec les sorties de secours très présentes (ça n'aide pas)...

Ultra pauvre

Y.

Je faisais une sieste tardive je m'endors comme ça souvent devant des séries années 80.

(Madeleine de P., je m'endormais comme ça ado, sur les jambes de ma mère, c'était notre amour télévision.) 

Dans le rêve, tu es mon invité, c'est sous les toits (je n'ai habité sous les toits qu'à Paris, il y a longtemps, ultra pauvre alors, jusqu'au désespoir). 

Tu es sur un matelas une personne, avec trois jolies petites lampes autour de ton lit. 

Je te fais un sketch un peu clown pour te raconter l'histoire d'une spectatrice qui demande le noir dans la salle.

Sans doute parce qu'elle trouve que c'est le bon moment dans la pièce. 

Un truc un peu hystéro genre Avignon, la dame « Mais qu'est-ce qu'on vous a fait ? » 

Tu ris de bon coeur, mais tu veux dormir. Et rêver. 

J'entremêle mes bras de maman autour de toi pour éteindre les lumières, les lampes. 

Et te laisser celle qui ne serait pas trop violente à ton sommeil. 

Un truc comme ça.

Amour pluie,

S.