Dernière note de Jean Vilar
La plus belle (de celles que je n'ai pas vues), c'était mercredi. Je le sais aux applaudissements, à l'énergie que le public refait circuler aux applaudissements - et aussi à votre joie quand vous passez derrière le gradin en courant - à notre joie à tous. Ce soir, même si ce sera encore très plein, prenez le temps de communiquer à la vitesse de la lumière. Voici ce que disait Daniele Delaire (qui revoyait le spectacle mercredi) :
"...voir les choses sans l'écran de l'habitude...
...on te laisse pas l'espace pour écouter, on te laisse pas l'espace pour regarder, tu vois et t'entends, et c'est rare, ça !"
et voici un proverbe arménien du jour de tous les jours depuis toujours, la sagesse infinie :
"What you give is yours, what you retain is lost forever."
Je tâche de me trouver un strapontin... C'était une belle aventure, qui sait, qui rebondira peut-être... J'apporte trois bouteilles de champagne, puis nous improviserons...
Que l'amour soit avec vous !
Yves-Noël
"...voir les choses sans l'écran de l'habitude...
...on te laisse pas l'espace pour écouter, on te laisse pas l'espace pour regarder, tu vois et t'entends, et c'est rare, ça !"
et voici un proverbe arménien du jour de tous les jours depuis toujours, la sagesse infinie :
"What you give is yours, what you retain is lost forever."
Je tâche de me trouver un strapontin... C'était une belle aventure, qui sait, qui rebondira peut-être... J'apporte trois bouteilles de champagne, puis nous improviserons...
Que l'amour soit avec vous !
Yves-Noël
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