J’aimerais écrire un livre qui serait dédicacé :

Aux jeunes gens vraiment épris

Le chocolat était seul ma drogue, seul mes soins, mon apaisement. J’achetais — quand j’entrai dans le magasin  — tout le stock. C’était un nouveau chocolat qui venait parfois à manquer. Ce n’était sans doute pas vraiment du chocolat, c’était une drogue…

« Vous passiez vos doigts dans vos cheveux et le soir, à la suite de votre main, entrait dans votre tête »

Il est urgent de ne plus voter pour le capitalisme !

Le capitalisme s’en fout que ce soit la démocratie ou la dictature, pour lui, il n’y a qu’un régime, mangez des bananes !

« Ecrire, c’est le double plaisir de raconter et de se raconter une histoire. »

Ah, la sexualité…

Je ne cesse pas d’aimer…

« Je fais faire tout ce que je ne peux pas faire à mes figures, l’amour en particulier. C’est cette chose étrange : je fais l’amour tout le temps, mais je ne le fais jamais « en vrai ». Mais pour le faire tout le temps, il ne faut plus le faire en vrai. C’est un autre « en vrai ». »

Liliane Giraudon me dit : « N’oublie pas Tallemant des Réaux »