Délit d’immortalité
Délit d’immortalité
Des incendies d’érables cernent le château
Tout le monde s’y met
Loger dans les châteaux, à la lanterne ou à la cloche de bois
Tout le monde veut avoir plus d’argent. Et, curieusement, c’est ça qui fait la beauté du monde, les arbres dénudés
Espérons que cela n’est pas vrai
Les filles sont des papillons
On peut cacher et dévoiler
Tchekhov va mourir
La jeunesse
Il ne le sait pas encore
C’est étrange
L’élégance terriblement à la mode
Il y a cent cinquante ans
Devant l’isba
À l’infini : Je t’aime – Je suis vivant
Ben, Aimé, vous exagérez un peu, quand même…
Mais les policiers sont des abrutis
C’est pas péjoratif. C’est de l’écriture blanche
Et, Tchekhov, c’est péjoratif ?
Yves-Noël Genod, 15 janvier 2008.
Des incendies d’érables cernent le château
Tout le monde s’y met
Loger dans les châteaux, à la lanterne ou à la cloche de bois
Tout le monde veut avoir plus d’argent. Et, curieusement, c’est ça qui fait la beauté du monde, les arbres dénudés
Espérons que cela n’est pas vrai
Les filles sont des papillons
On peut cacher et dévoiler
Tchekhov va mourir
La jeunesse
Il ne le sait pas encore
C’est étrange
L’élégance terriblement à la mode
Il y a cent cinquante ans
Devant l’isba
À l’infini : Je t’aime – Je suis vivant
Ben, Aimé, vous exagérez un peu, quand même…
Mais les policiers sont des abrutis
C’est pas péjoratif. C’est de l’écriture blanche
Et, Tchekhov, c’est péjoratif ?
Yves-Noël Genod, 15 janvier 2008.