Juste avant d'aller jouer, dire au revoir à l'éternité

Kate Moran.

Partager un secret avec Kate, Thomas, Erik et Fred…

Chacun de nous a eu du plaisir à travailler ensemble, à – tout à fait – partager un secret (qui ne serait pas révélé)… Plaisir qui a dépassé le plaisir même de partager le spectacle. C’est peut-être la première fois que je ressens ça. On peut vraiment travailler pour juste le plaisir de vivre (s’il s’agit de la vraie vie) et, le secret du spectacle, c’était ça : qu'il n'y avait pas de spectacle, juste cinq personnes qui se comprenaient, qui s’estimaient, comment dire ?, qui avaient réussi à laisser les problèmes à la porte – ou dans une autre ville – comment dire ? – l’empathie. On a senti ça aussi avec toute l’équipe d’actoral, une grâce (particulière) cette année… Ce n’est pas qu’il y avait particulièrement des problèmes les autres années, mais, cette année, une grâce, l’esprit, en plus... Walter Benjamin – qui sait ?

La Lampe frontale

Thomas Scimeca.

La Chambre du chat

Longue vie céleste

Merci encore mon splendeur, à nouveau un moment de beauté. Tu es magique, magnifique, céleste. Long live Haschich à Marseille !

La Classe

Jean Biche
Bisoux blondie, c'était bien Marseille ?

Figure-toi que j'ai pensé à toi ce soir : ma belle robe d'actrice passe sur le billard pour un relooking (j'ajoute des manches et je réajuste la taille ), j'ai trouvé en ouvrant la doublure des confettis orange. C'était super émouvant.

Mwah !
x
Biche.

(PS : une amie t'a renommé par mégarde Jean-Yves Genoux, je trouve ça furieusement classe).

Réunion des scènes infinie

Kiss. Je m'endors. Je t'adore. Tu es tout « l'or du beau ».
Et, si il y a un désistement, j'en suis, pour La Réunion .