I ncipit
Dans ma jeunesse, j’ai eu
quelques expériences poétiques. L’expérience poétique, c’est quand par exemple
la fleur — est sans pourquoi. Ce qui faisait « poésie », c’était
aussi que des mots étaient associés à ces expériences, mais je ne dirais pas cela, le mot « dortoir », le mot « vers le
soir », par exemple. Et c’était aussi, peut-être, que ces expériences
étaient inscrites dans les contours si vastes d’une solitude immense... de la présence…
Ensuite, j’ai travaillé,
j’ai moins eu de temps pour savoir ça…
Labels: château