« L a lucidité est la blessure la plus rapprochée du soleil »
Retour dans « la danse
contemporaine »… Qu’ils sont gentils ! Ça va si vite ! on est
tout de suite comme un poisson dans l’eau… Je pensais à la phrase de Pina
Bausch : « Ce métier nous permet de faire adulte ce que l’on fait
petit » (de mémoire, bien sûr). C’est Jocelyn Cottencin, le chef de
projet… Sur le mot « monument »… Eh, bien, c’est
passionnant, les mots-monuments ! Pendant 3 jours, tout le monde est chic,
j’étais le plus vulgaire, c’est dire… C’est beau, les formes — la vie —,
surtout quand elles n’en finissent pas — ce qui est toujours le cas : l’art
qui a commencé dans les cavernes, avec la peinture (aux 3/4, dit-on d’ailleurs,
réalisée par des femmes), ça n’en finit pas… J’aimerais bien continuer avec
Jocelyn et tous ces gens QUI ME SUPPORTENT à bâtir des monuments de vent, de
sang et de pensées qui n’en finissent pas, ni de passer ni de promettre… (dans
les landes et les gris et les mers du Nord).
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