Sunday, August 28, 2022

Nous vous proposons de participer à un évènement autour d’une sculpture d’Elizabeth Saint-Jalmes, une sorte de tente en voile de bateau qui ne tient que par une soufflerie, visitable intérieurement et extérieurement, qui occupera la moitié de la surface de la Grande Halle où nous avons dansé. C’est donc la rencontre de Sur le Carreau avec cette sculpture, ce personnage (venu de l’espace ?) 


Sur le thème du nomadisme 


Enfants, familles bienvenus


Les répétitions et représentations : 

Le jeudi 1er, de 15h à 20h

Le vendredi 2 de 10h30 à 13h puis de 14h à 17h, générale (devant public de pros et de journalistes) prévue à 19h (durée : moins d’une heure)

Rien le samedi

Le dimanche 4, ouverture au public de 14h à 18h


C’est très peu de temps de travail, mais, pour certains, c’est encore trop (en journée, en semaine). Essayez d’être présent au maximum…


Costumes : très important 

Tout ce qui peut vous embellir, vous faire remarquer (par le public qui se mélangera à vous), Couleurs ou noirs. Chacun fait comme il veut. Diversité. Couleurs ou noirs ou blancs. Beauté. Création. Pensez aux transformations que peuvent apporter les costumes. Peut-être des changements possibles (sur la durée…) Aussi, tout ce qui peut faire « tribal » est bienvenu. Montrez de la peau (pas de nudité, hélas, mais de la peau, tant que c’est permis), peintures corporelles éventuellement, maquillages, tignasses… 

Ou pas du tout. Inspiration tout azimut

Juste : pas de tenue de « sport » genre workshop (ou alors si ça vous va comme à des déesses, des héros !) Maillots de bain, pourquoi pas, c’est encore de saison…


Le public contrairement à Sur le Carreau, va et vient (l’installation fait partie d’un parcours, les « Traversées du Marais »). C’est pas la rue, mais c’est « comme la rue », m’a dit Maïa. Un public « sauvage ». Il faut donc être plus sauvage que lui — ou plus sage — pour se distinguer (d’où aussi l’importance de l’apparence, vêtements ou peinture)


Mais nous découvrirons notre bonheur ensemble face à l’Abri trou. J’ai peu d’idées, sauf que cela doit être, encore une fois, comme des « Vacances dans la réalité » (selon le titre d’un poème que j’aime citer)


Le groupe n’apparait (le dimanche) qu’une fois par heure, on imagine, donc quatre passages. Par exemple, 14h50, 15h50, 16h50, 17h50 (final)


Le seul devoir qu’on ait — et qu’il faudra atteindre : être libre


Confirmez, s’il vous plaît, votre présence auprès de Maïa, 


Yves-Noël


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