L e Temps

« Qu’est-ce qu’un grand texte ? c’est celui où, et je cite Proust, « chaque mot prend un sens d’éternité » »

« Pas d’avant ni d’après dans la Thora »

« Pour l’homme qui vit réellement, dit Heidegger, il y a toujours du temps. »

« Dans le fleuve qui s’épand et qui prend des proportions gigantesques est cachée la source même du fleuve. Voilà. Ben, c’est un peu pareil pour un grand texte. C’est cette tessiture miraculeuse, cette texture résurrectionnelle, cette hiéroglyphie absolue, ce palimpseste perpétuel que Proust désigne, dans Le Temps retrouvé,  comme « le livre intérieur de signes inconnus » Et ce livre intérieur, il explique pourquoi si peu d’écrivains parviennent à le déchiffrer, parce qu’il y faut une vie, là aussi, et il faut un certain rapport au temps. »

O ui, c'était aujourd'hui

A insi les mouettes remontent

« Ainsi les mouettes remontent dans les terres, suivant 

les fleuves de déchetterie en déchetterie parce qu’elles sont de bons exemples des adjectifs : avides, affamées, faméliques, et toute la liste linguistique qui veut simplement dire que tu me manques. Qui Tu ? Je t’ai dit hier, le moindre

membre du visage universel. »

Un nouveau mot (pour moi) : coquecigrue