Sunday, October 26, 2008

Légendes

Légendes



Eh bien, écoute, moi, je suis pas dans les secrets, mais je sais.
Discret et massif (présence discrète et massive).
La paix.
Pa piertoi lette.
C’est un déjeuner imaginaire ?
Les pins, leur présence communautaire.
La mer et la piscine.
C’est le week-end de l’amour.
Y a des limites à l’amour.
Fatigué(e) d’être sexy (Cansei de Ser Sexy).
Domaine des Songes.
Yvon et Jacques Ulé.
Never, never et demie.
Tartine Aubry.
Au Bois de Boulogne, y a une association d’homosexuels qui reboisent le bois. Y en a un qui est un peu plié et l’autre qui fait le boulot.
Le fracas de l’océan qui ne fait rien.
Eh, ne sois pas si violente !
Yvon et Jacques (Ulé).
Aimé et Désiré Desdame.
L’enfant sur le sable.
Ville natale.
Personne n’imagine l’immensité de la connerie américaine sauf les intellectuels américains.
L’immensité du bord.
Le soleil apparaît alors que…
Francis Bacon trouve la peinture à l’huile si facile. Il l’aime pour ça. Tant. Il l’aime tant pour sa facilité, son bonheur. Elle permet tout. Les mots et l’écriture aussi permettent tout. Dans tous les sens. Noir et blanc. Blanc et noir. Gris. Mais pourtant !
Ma religion (notre religion) : le naturisme.
Sœur Emmanuelle disait que, bien sûr, il y a une autre vie après la mort sinon « on se demande ce qu’on fout là, c’est complètement débile ! » Eh bien, ce week-end à La Jenny, on ne se demandait pas. Faire ami avec l’océan. Ce grand enfant (comme on dit : ce grand-parent). L’hémisphère schizophrène. Source de poésie violente comme une source d’amour, de joie, de connaissance. Le dictionnaire des mots du Scrabble. Le bégaiement de la mythologie hollywoodienne, la mer. Et faire disparaître son visage… Le sujet : l’océan. Le jeu dans la nuit : (il fallait trouver) Rachida Dati, E.T., Carlos, Loïc Perron, Marie Drucker, Cléopâtre, Sœur Emmanuelle, …
« Amusez-vous bien. », leur a-t-il dit.

Le sang bleu.
Tout est parfum de la mer. Et dans tous les journaux. La mer, ce n’est que l’océan. Qui est partout. Partout moderne. Partout présent. Les hommes voulaient la dompter. Les pulls, les pulls de toutes les années, mouillés par l’eau, la laine mouillée trempée, le mouton. Un grand benêt avait décidé d’en finir avec la vie. Oui, l’art : montré. L’art et la mer. Une reine celtique qui combattait. La matière humaine. Dans le train, ensuite, le train si rapide et sœur Emmanuelle qui imaginait une autre vie... Pourquoi pas, d’ailleurs ? Une vie extra-terrestre. Des Mikado Pocket en regardant un film, l’ado. (Film américain en VF, l'ado...) Briser les catastrophes, adoucir… (l’océan).
L’océan, larme à l’œil.

L’océan déferle, remplit la baïne, monte à l’assaut, s’arrête pas, vivant puisque s’arrête pas. Léo. L’océan Léo.
« En fait, il essaie de trouver ce qu’il s’est passé sur terre… »
Capitalisme démentiel.
Milliers d’années de bonheur, dans le ciel. Accumulées. Et les ailes des oiseaux coupées pour les empêcher de voler – bien haut. Et les ailes des poissons légères au fond de l’eau.
CHANEL. CHARNEL (Hélèna rajoute un R.)
Je voulais lui faire lire la phrase drôle :
Je me permets de te rappeler… (89).
« Où êtes-vous ?
– Dans ma salle à manger. »






La Jenny, 24, 25, 26 octobre 2008.



























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