2ième partie :
La boule à facettes : très bien ! Mais, c'est comme tout, il faut qu'on ait l'impression que ça arrive par hasard (donc te trouver une autre occupation-fausse piste ou couverture pour permettre de faire ça, de cacher que c'est, en fait, la chose importante...)
Quand tu sors de la région centrale robe à facettes : que ça soit pas une sortie justement, mais que tu ailles vers du hors champ (que tu t'inventes) pour donner cette impression – que l'on veut énorme dans la deuxième partie – que tout ce qui est « à voir » est hors champ (dans le réel), qu'on en a que les traces, les indices « sur scène »... C'est déjà une chose qu'on doit avoir très fort dans la première partie, mais, la deuxième encore plus fort ; ça – si on y arrive – repose que là-dessus...
Sinon, 1ere partie, je pioche un peu au hasard, mais le deuxième filage était déjà beaucoup mieux que le premier (qui déjà se tenait aussi néanmoins). Faire attention, comme j’ai déjà dit, à ne jamais apparaître en 2D (y a eu, par exemple un appui sur la chaise-fauteuil très 2D), ça fait très faux (personne n'est en 2D dans la vie).
Le papier cristal de paquet de cigarettes, au début, très bien (on entend le bruit, ça communique bien) (Du coup, en prévoir un à chaque fois.) Ne pas aller le mettre à la poubelle : la poussière tu la rends au monde (et le monde est partout, pas de côté).
Tu peux en faire plus (« thinking, thinking ») quand tu vas au sol, c'est un peu formel. (Y a bien une place sur laquelle j'insiste, mais – idem – faut pas qu'on s'en aperçoive.)
Tu attends un peu faussement pour le déshabillage, on dirait que tu guettes du coin de l'œil. La conversation entre vous, pas mal, peut être mieux (un peu coincée de ta part, un peu tendue, cette partie, y a pas de quoi...)
Après t'être intéressé au chagrin « hors de proportion » de Lorenzo, y a un moment où tu ne t'y intéresses plus, c'est leggings, leggings... Ne pas y revenir, alors (bien séparer les saveurs).
Ah : ne t'époussette pas les plumes que tu as sur toi, c'est très beau, au contraire, dans la lumière, ce duvet d'ange (Marlène m'a dit : « Pour qu'il arrête, t'as qu'à lui dire que, quand il le fait, on dirait, qu'il a des pellicules... »)
Voili-voilà.
Sinon, plus on donne, plus on reçoit, ça aussi, c'est comme dans la vie... (Les secrets sont simples.)
Des bises, dors bien
Yvno
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