Autres éléments de langage possibles :
C’est un spectacle à vivre et non pas à regarder. C’est une cérémonie. Enrichissement du cœur. Il faut que le public active la pièce pour qu’elle existe
Développement personnel : devenez un acteur.
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« « Je veux me trouver là où la vie se transforme en aventure et où je peux m’immergée… », dit une publicité que j’ai coupé à 5s sur YouTube (je ne connais pas la suite). C’est exactement ce que je propose au public. »
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Yves-Noël Genod propose d’entraîner les spectateurs — pas pour devenir interprètes, pour devenir spectateurs. Parce que, pour ce spectacle, il n’y en aura pas, d'interprètes. Il n’y aura — sur scène — que des spectateurs. Tout le monde participe. Tout le monde est sur scène. C’est comme un rêve (ou un cauchemar) : on y est, on doit faire avec. Pas d’échappatoire. On est obligé de jouer de sa propre présence. Tout le monde joue. On a le droit de venir répéter. Yves-Noël Genod propose d’entraîner les spectateurs.
« Le sujet c’est vous »
Les répétitions sont ouvertes à qui veut y participer.
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Le spectacle d’Yves-Noël Genod cette année à l’Arsenic est une installation plastique de l’éclairagiste Philippe Gladieux. Cette installation existe dans l’univers de façon autonome, robotique, dans un mouvement perpétuel. C’est une installation de théâtre sans le théâtre. Un poème sans les mots, un théâtre sans interprètes. Il n’y a pas de gradin, le public, les spectateurs sont les ombres sur scène. Il n’y a rien à jouer, mais aussi rien à voir. Cette installation est un refuge dans la vie.
« Quand on protège la biodiversité, elle nous le rend », dit-on dans « Libération » aujourd’hui.
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« Le spectacle qui sera créé à l’Arsenic à l’automne 2020 pourrait s’appeler Soudaine beauté de l’éphémère. Il consisterait, c’est en tout cas l’idée que j’ai exprimée à Patrick quand nous avons finaliser les dates (du 29 octobre au 1er novembre) à utiliser la grande salle sans les gradins comme je l’avais fait pour Phèdre, mais, cette fois, en laissant le public errant au milieu de la salle sans sièges et, souvent, plongé dans le noir. A partir de ce nocturne, la lumière (de Philippe Gladieux) naît, comme des cosmos, des visions qui retournent à la nuit. On peut tout jouer de cette manière. Des pièces et des pièces apparaissent. Démultiplication poétique à la Rimbaud. Ce qui m’intéresse, toujours, si je réfléchis à un spectacle, c’est d’imaginer un piège qui force les spectateurs à vivre l’expérience même du spectacle. »
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